Les trois étrangers de l'ONU, accompagnés d'un collègue somalien, ont été enlevés alors qu'ils se rendaient à un aérodrome situé à proximité de la ville de Wajid (250 km au nord-ouest de Mogadiscio), selon cette source jointe au téléphone depuis Mogadiscio.
Des hommes armés ont intercepté leur voiture alors qu'ils allaient prendre un avion après avoir passé la nuit en transit à Wajid, a-t-on ajouté. Le véhicule a ensuite été retrouvé abandonné.
Les trois étrangers - l'un de nationalité kényane et les deux autres "occidentaux" sans que leur nationalité ne soit précisée dans l'immédiat - travaillent pour le Programme alimentaire mondial (PAM) et le Programme des Nations unies pour le développement (PNUD), selon la même source.
"Il y a des efforts en cours pour obtenir leur libération", a déclaré de son côté à l'AFP un chef coutumier de Wajid, Mohamed Moalim Hassan, selon qui les forces de sécurité "suivent la trace des ravisseurs".
"On pense qu'ils (les ravisseurs) sont des miliciens locaux mécontents de récents recrutements par les organisations d'aides", a-t-il précisé, ajoutant: "j'espère que le drame ne durera pas trop longtemps".
Les rares étrangers présents en Somalie, pays en guerre civile depuis 1991, sont régulièrement la cible d'enlèvements et libérés contre paiement de rançons.
Les journalistes étrangers et les employés d'organisations humanitaires sont particulièrement visés par les preneurs d'otages, notamment dans la région du Puntland (nord), également base de groupes de pirates qui attaquent des navires au large de la Somalie pour obtenir le paiement de rançons.
Source: Yahoo News
Des hommes armés ont intercepté leur voiture alors qu'ils allaient prendre un avion après avoir passé la nuit en transit à Wajid, a-t-on ajouté. Le véhicule a ensuite été retrouvé abandonné.
Les trois étrangers - l'un de nationalité kényane et les deux autres "occidentaux" sans que leur nationalité ne soit précisée dans l'immédiat - travaillent pour le Programme alimentaire mondial (PAM) et le Programme des Nations unies pour le développement (PNUD), selon la même source.
"Il y a des efforts en cours pour obtenir leur libération", a déclaré de son côté à l'AFP un chef coutumier de Wajid, Mohamed Moalim Hassan, selon qui les forces de sécurité "suivent la trace des ravisseurs".
"On pense qu'ils (les ravisseurs) sont des miliciens locaux mécontents de récents recrutements par les organisations d'aides", a-t-il précisé, ajoutant: "j'espère que le drame ne durera pas trop longtemps".
Les rares étrangers présents en Somalie, pays en guerre civile depuis 1991, sont régulièrement la cible d'enlèvements et libérés contre paiement de rançons.
Les journalistes étrangers et les employés d'organisations humanitaires sont particulièrement visés par les preneurs d'otages, notamment dans la région du Puntland (nord), également base de groupes de pirates qui attaquent des navires au large de la Somalie pour obtenir le paiement de rançons.
Source: Yahoo News