Genève, 21 novembre 2007 - Un rapport Onusida, paru mardi, révèle que de nouvelles données montrent que le pourcentage mondial de personnes vivant avec le VIH s'est stabilisé et que le nombre de nouvelles infections a diminué (33.2 million au lieu de près de 40 million). Ces nouvelles données et les progrès de la méthodologie ont abouti à d'importantes modifications des précédentes estimations.
"Les données de mesure de l'épidémie de VIH utilisées par l'ONUSIDA / OMS se sont considérablement développées et améliorées au cours des dernières années ", a déclaré Ron Brookmeyer, professeur de biostatistique à l’école de santé publique Johns Hopkins Bloomberg: "Néanmoins, il est nécessaire d'améliorer encore la représentativité des données sous-jacentes. Il est nécessaire de développer les systèmes de surveillance des maladies pour assurer un meilleur suivi.»
La prévalence du VIH parmi les jeunes femmes enceintes (15 - 24) fréquentant les cliniques prénatales a baissé depuis 2000/2001 dans 11 des 15 pays les plus touchés. Les données préliminaires montrent également des changements favorables dans les comportements à risque chez les jeunes dans un certain nombre de pays (Botswana, Cameroun, Haïti, Kenya, Malawi, Togo, Zambie et Zimbabwe). Ces tendances donnent à penser que les efforts de prévention ont un impact dans plusieurs des pays les plus touchés.
"Les données de mesure de l'épidémie de VIH utilisées par l'ONUSIDA / OMS se sont considérablement développées et améliorées au cours des dernières années ", a déclaré Ron Brookmeyer, professeur de biostatistique à l’école de santé publique Johns Hopkins Bloomberg: "Néanmoins, il est nécessaire d'améliorer encore la représentativité des données sous-jacentes. Il est nécessaire de développer les systèmes de surveillance des maladies pour assurer un meilleur suivi.»
La prévalence du VIH parmi les jeunes femmes enceintes (15 - 24) fréquentant les cliniques prénatales a baissé depuis 2000/2001 dans 11 des 15 pays les plus touchés. Les données préliminaires montrent également des changements favorables dans les comportements à risque chez les jeunes dans un certain nombre de pays (Botswana, Cameroun, Haïti, Kenya, Malawi, Togo, Zambie et Zimbabwe). Ces tendances donnent à penser que les efforts de prévention ont un impact dans plusieurs des pays les plus touchés.