Ancien élève de l'école militaire de Saint Louis, Samba Ndiaye a obtenu son diplôme d'ingénieur en génie civil à Annaba, en Algérie. Il entame sa carrière en 1992 à la Senelec où il occupe, notamment, la fonction de Directeur des Affaires générales. Figurant parmi ceux qui soutiennent les grands projets d'infrastructure, Samba Ndiaye est nommé, par le Président de la République, à la tête de la Société d’Investissement et de Restructuration Navale en août 2009.
Au cours du mois de novembre de la même année, Samba Ndiaye démarre les études du projet de renouvellement des pirogues au Sénégal en collectant des besoins des pêcheurs qu'il rapproche des nécessités relatives à la mise aux normes européennes des bateaux de pêche sénégalais en vue de l'exportation des produits de la pêche artisanale.
Ce programme s'intègre aux grands projets d'infrastructure du Président de la République. Il s'agit d'un projet industriel destiné, dans un premier temps, à renouveler le parc de pirogues de pêche artisanale qui se monte à 17 000 embarcations. Il est prévu de fabriquer 3000 pirogues pendant les 5 premières années. Dans un second temps, il est envisagé de construire des bateaux-taxis afin de désengorger la circulation Dakar-Rufisque ainsi que de promouvoir le tourisme. C'est un projet de modernisation générateur de richesses, d'emplois et qui aura l'avantage de lutter contre la déforestation.
Professionnel fidèle aux grands projets d'infrastructures du Président de la République, Samba Ndiaye est également un homme politique fidèle à la vision du Chef de l'État qu'il veut mettre en œuvre à Ndoffane, ville de 20 000 habitants dans le département de Kaolack dont il est maire. C'est ainsi qu'il souhaite implanter dans sa ville un site baptisé "Les 7 merveilles de Ndoffane" destiné à la promotion du sport, de la culture et comprenant un complexe sportif, un centre de formation pour les jeunes, une bibliothèque, un cybercafé, une salle des fêtes, un théâtre de verdure et des boutiques pour les femmes commerçantes. Il ne s'agit pas de faire une copie conforme des "7 merveilles de Dakar" mais, dans la droite ligne de la vision du Président de la République, Samba Ndiaye inciter d'autres maires ou opérateurs économiques dans d'autres villes à faire la même chose pour "avancer partout" comme il le dit avec enthousiasme.
A propos de la S.I.R.N, Samba Ndiaye précise qu'elle est propriétaire des équipements et bâtiments qu'elle met au service des trois sociétés concessionnaires: Dakarnave, le Pôle de Développement Industriel (Pdi) et l'Africaine de Chaudronnerie et de tuyauterie (Act). Elle tire donc ses revenus des concessions qu'elle accorde. Le projet de renouvellement de la flotte de bateaux de pêche artisanale permettra à cette société parapublique de générer d'autres richesses. L'Autorité de régulation des marchés publics (AMRP) qui a réalisé l'audit les comptes de la SIRN sur la période 2000 - 2009 précédant la prise de fonctions de Samba Ndiaye, n'a pas réussi à épingler la société autrement qu'en lui adressant quelques recommandations. Quant à l'Inspection générale d'Etat, confirme Samba Ndiaye, elle ne procède à aucune consultation à la SIRN: ceux qui l'ont annoncé ont sans doute confondu avec les commissaires aux comptes de l'entreprise, ironise-t-il.
Précédemment sur Editoweb: A paraître - Samba Ndiaye, le père des pirogues modernes au Sénégal, s'exprime
Au cours du mois de novembre de la même année, Samba Ndiaye démarre les études du projet de renouvellement des pirogues au Sénégal en collectant des besoins des pêcheurs qu'il rapproche des nécessités relatives à la mise aux normes européennes des bateaux de pêche sénégalais en vue de l'exportation des produits de la pêche artisanale.
Ce programme s'intègre aux grands projets d'infrastructure du Président de la République. Il s'agit d'un projet industriel destiné, dans un premier temps, à renouveler le parc de pirogues de pêche artisanale qui se monte à 17 000 embarcations. Il est prévu de fabriquer 3000 pirogues pendant les 5 premières années. Dans un second temps, il est envisagé de construire des bateaux-taxis afin de désengorger la circulation Dakar-Rufisque ainsi que de promouvoir le tourisme. C'est un projet de modernisation générateur de richesses, d'emplois et qui aura l'avantage de lutter contre la déforestation.
Professionnel fidèle aux grands projets d'infrastructures du Président de la République, Samba Ndiaye est également un homme politique fidèle à la vision du Chef de l'État qu'il veut mettre en œuvre à Ndoffane, ville de 20 000 habitants dans le département de Kaolack dont il est maire. C'est ainsi qu'il souhaite implanter dans sa ville un site baptisé "Les 7 merveilles de Ndoffane" destiné à la promotion du sport, de la culture et comprenant un complexe sportif, un centre de formation pour les jeunes, une bibliothèque, un cybercafé, une salle des fêtes, un théâtre de verdure et des boutiques pour les femmes commerçantes. Il ne s'agit pas de faire une copie conforme des "7 merveilles de Dakar" mais, dans la droite ligne de la vision du Président de la République, Samba Ndiaye inciter d'autres maires ou opérateurs économiques dans d'autres villes à faire la même chose pour "avancer partout" comme il le dit avec enthousiasme.
A propos de la S.I.R.N, Samba Ndiaye précise qu'elle est propriétaire des équipements et bâtiments qu'elle met au service des trois sociétés concessionnaires: Dakarnave, le Pôle de Développement Industriel (Pdi) et l'Africaine de Chaudronnerie et de tuyauterie (Act). Elle tire donc ses revenus des concessions qu'elle accorde. Le projet de renouvellement de la flotte de bateaux de pêche artisanale permettra à cette société parapublique de générer d'autres richesses. L'Autorité de régulation des marchés publics (AMRP) qui a réalisé l'audit les comptes de la SIRN sur la période 2000 - 2009 précédant la prise de fonctions de Samba Ndiaye, n'a pas réussi à épingler la société autrement qu'en lui adressant quelques recommandations. Quant à l'Inspection générale d'Etat, confirme Samba Ndiaye, elle ne procède à aucune consultation à la SIRN: ceux qui l'ont annoncé ont sans doute confondu avec les commissaires aux comptes de l'entreprise, ironise-t-il.
Précédemment sur Editoweb: A paraître - Samba Ndiaye, le père des pirogues modernes au Sénégal, s'exprime