"Je confirme ma candidature à la candidature à la présidence du Sénat", a déclaré M. Marini.
Le prochain président sera élu le 1er octobre, après les sénatoriales du 21 septembre. Le groupe UMP se réunira auparavant pour désigner son candidat. Deux autres sénateurs UMP, Gérard Larcher et Jean-Pierre Raffarin, sont sur les rangs, le premier officiellement et le second officieusement.
"Ma démarche est accompagnée par des collègues issus des différentes sensibilités de l'UMP: anciens RPR, anciens centristes, anciens indépendants", a assuré M. Marini. "Beaucoup redoutent, s'il n'y avait que deux candidats, un affrontement qui se réduirait à faire ressurgir anciens RPR contre anciens UDF".
Le rapporteur général du budget au Sénat entend donner une portée programmatique au document "Un nouvel élan sur le Sénat", récemment achevé et fruit d'une initiative qu'il a prise début 2008 avec les sénateurs Jean Arthuis, Hubert Haenel, Alain Lambert et Dominique Leclerc.
"Nous souhaitons que, pour la période de trois ans entre deux renouvellements partiels, existe un véritable programme de législature, que le Sénat définisse thème par thème ses priorités", a résumé M. Marini.
"Nous souhaitons aussi que les ressources humaines du Sénat soient mieux gérées, qu'il s'agisse des sénateurs ou des collaborateurs permanents", afin d'"améliorer la qualité des travaux législatifs, d'évaluation et de contrôle", a-t-il ajouté.
M. Marini dit concevoir la fonction de président du Sénat "plus comme un speaker à l'anglo-saxonne, c'est-à-dire un porte-parole de l'institution, que comme un dirigeant d'une formation politique".
Pour lui, le président du Sénat "n'a pas à être investi dans la politique politicienne quotidienne".
Source: Yahoo News
Le prochain président sera élu le 1er octobre, après les sénatoriales du 21 septembre. Le groupe UMP se réunira auparavant pour désigner son candidat. Deux autres sénateurs UMP, Gérard Larcher et Jean-Pierre Raffarin, sont sur les rangs, le premier officiellement et le second officieusement.
"Ma démarche est accompagnée par des collègues issus des différentes sensibilités de l'UMP: anciens RPR, anciens centristes, anciens indépendants", a assuré M. Marini. "Beaucoup redoutent, s'il n'y avait que deux candidats, un affrontement qui se réduirait à faire ressurgir anciens RPR contre anciens UDF".
Le rapporteur général du budget au Sénat entend donner une portée programmatique au document "Un nouvel élan sur le Sénat", récemment achevé et fruit d'une initiative qu'il a prise début 2008 avec les sénateurs Jean Arthuis, Hubert Haenel, Alain Lambert et Dominique Leclerc.
"Nous souhaitons que, pour la période de trois ans entre deux renouvellements partiels, existe un véritable programme de législature, que le Sénat définisse thème par thème ses priorités", a résumé M. Marini.
"Nous souhaitons aussi que les ressources humaines du Sénat soient mieux gérées, qu'il s'agisse des sénateurs ou des collaborateurs permanents", afin d'"améliorer la qualité des travaux législatifs, d'évaluation et de contrôle", a-t-il ajouté.
M. Marini dit concevoir la fonction de président du Sénat "plus comme un speaker à l'anglo-saxonne, c'est-à-dire un porte-parole de l'institution, que comme un dirigeant d'une formation politique".
Pour lui, le président du Sénat "n'a pas à être investi dans la politique politicienne quotidienne".
Source: Yahoo News