Pendant la présidentielle, elle aurait eu besoin du "soutien de tout un parti et d'un compagnon amoureux, à fond avec la candidate". "La solidarité politique n'a pas compensé l'abandon privé".
Quand donc cesseront-ils, les uns et les autres, de vilipender François Hollande?
Ségolène Royal ne figure pas parmi les plus impitoyables: elle ne classe pas son ancien compagnon parmi ses détracteurs.
Mais le "procureur" le plus "impitoyable" est à ses yeux Lionel Jospin. "On ne peut quand même pas lui confier le bouton nucléaire", lâche devant témoins l'ancien premier ministre.
Plus drôle, Ségolène Royal raconte la visite de Michel Rocard à quelques heures du dépôt des candidatures. L'ancien rival de François Mitterrand lui demande de se retirer en sa faveur.
Seul épargné, son ex-compagnon François Hollande, qui "a regardé de loin, mais contrairement à certains autres dirigeants, sans dire de mal".
Les "snipers de Nicolas Sarkozy" n'ont eu qu'à reprendre les arguments utilisés contre elle par ses concurrents.
Interrogé sur les propos concernant notamment Laurent Fabius, M. Bartolone a dit "le regrette(r), parce que la phrase qu'avait employée Laurent Fabius (...) pour donner la feuille de route à tous ses amis, c'était: 'une pour tous et tous pour une'". "Regardez aussi la manière dédaigneuse qui a été celle de Ségolène Royal vis-à-vis (...) d'autres", a-t-il ajouté, évoquant notamment Dominique Strauss-Kahn.
Quand donc cesseront-ils, les uns et les autres, de vilipender François Hollande?
Ségolène Royal ne figure pas parmi les plus impitoyables: elle ne classe pas son ancien compagnon parmi ses détracteurs.
Mais le "procureur" le plus "impitoyable" est à ses yeux Lionel Jospin. "On ne peut quand même pas lui confier le bouton nucléaire", lâche devant témoins l'ancien premier ministre.
Plus drôle, Ségolène Royal raconte la visite de Michel Rocard à quelques heures du dépôt des candidatures. L'ancien rival de François Mitterrand lui demande de se retirer en sa faveur.
Seul épargné, son ex-compagnon François Hollande, qui "a regardé de loin, mais contrairement à certains autres dirigeants, sans dire de mal".
Les "snipers de Nicolas Sarkozy" n'ont eu qu'à reprendre les arguments utilisés contre elle par ses concurrents.
Interrogé sur les propos concernant notamment Laurent Fabius, M. Bartolone a dit "le regrette(r), parce que la phrase qu'avait employée Laurent Fabius (...) pour donner la feuille de route à tous ses amis, c'était: 'une pour tous et tous pour une'". "Regardez aussi la manière dédaigneuse qui a été celle de Ségolène Royal vis-à-vis (...) d'autres", a-t-il ajouté, évoquant notamment Dominique Strauss-Kahn.