Les méduses vont-elles dominer le monde?
Les méduses se sont servi des activités de l'homme (surpêche, pollution) pour proliférer et augmenter leur taille. En plus, c'est connu, les déchets d'un animal sont ensuite mangés par un autre... mais pas ceux des méduses! Ils ne sont utilisés que par certaines bactéries, explique le magazine Wired. Aussi, les méduses changent profondément la chaine alimentaire et la structure microbienne de l'océan en déplaçant l'énergie produite par la nourriture, des poissons vers des bactéries.
«Les méduses impactent la chaine alimentaire en capturant le plancton qui, autrement, serait mangé par d'autres poissons et convertissent l'énergie produite par la nourriture en biomasse gélatineuse. Cela restreint le transfert d'énergie dans la chaîne alimentaire, car les méduses ne sont pas facilement consommées par d'autres prédateurs.» (www.slate.fr)
Certaines espèces sont en voie de disparition et d'autres en voie d'expansion...
Aquarius, un satellite pour étudier la salinité des océans
Cet après-midi, la Nasa doit mettre sur orbite le satellite argentin Aquarius, destiné à mesurer la salinité des océans. Les données recueillies permettront de mieux prévoir les changements climatiques.
1.241 kilogrammes pour 7 mètres de long et 2,7 mètres de diamètre : Aquarius est à ce jour le plus gros des quatre satellites argentins jamais conçus. Cet après-midi, une fusée Delta 2 sera lancée afin de le mettre en orbite. La mission du satellite ? Observer l'ensemble de la surface océanique depuis son orbite à 657 kilomètres d'altitude, et fournir des cartes mensuelles avec une résolution de 150 kilomètres de la salinité de surface. Cette dernière ayant un rôle important dans le fonctionnement des océans, et en particulier de la circulation profonde, est très étudiée par les chercheurs. (www.maxisciences.com)
Peu de temps avant le fin du monde prévue en 2012 selon le calendrier maya...
Les dromadaires australiens victimes du réchauffement
Victimes inattendues du changement climatique, des milliers de dromadaires sont menacés de mort dans l'outback australien. Non par le réchauffement lui-même, mais par la 'carbon farming initiative' imaginée par Canberra pour inciter les agriculteurs, les gestionnaires de forêts et les communautés aborigènes à réduire les rejets de gaz à effet de serre du secteur agricole, qui comptent pour près d'un quart des émissions du pays, en échange de crédits carbone négociables sur les marchés internationaux. (www.lemonde.fr)
Des bulles magnétiques détectées aux confins du système solaire
Les sondes Voyager 1 et 2 ont été lancées en 1977. Depuis, elles ont survolé les planètes éloignées du système solaire telles que Jupiter, Saturne, Uranus ou Neptune. A présent à 14 milliards de kilomètres de la Terre, elles ont fourni de nouvelles informations concernant les confins de notre système solaire.
Grâce à un nouveau modèle informatique, les chercheur ont analysé les données collectées par les deux sondes. Ils sont parvenus à déterminer que le champ magnétique du Soleil mesurait environ 160 millions de kilomètres de largeur. Lorsque ce champ se réorganise, ses lignes courbes entraînent la formation de bulles magnétiques. La publication parue hier dans le journal Astrophysique indique que les bulles se seraient formées suite à la rupture des lignes magnétiques solaires. (www.maxisciences.fr)
Source: Yahoo News
Les méduses se sont servi des activités de l'homme (surpêche, pollution) pour proliférer et augmenter leur taille. En plus, c'est connu, les déchets d'un animal sont ensuite mangés par un autre... mais pas ceux des méduses! Ils ne sont utilisés que par certaines bactéries, explique le magazine Wired. Aussi, les méduses changent profondément la chaine alimentaire et la structure microbienne de l'océan en déplaçant l'énergie produite par la nourriture, des poissons vers des bactéries.
«Les méduses impactent la chaine alimentaire en capturant le plancton qui, autrement, serait mangé par d'autres poissons et convertissent l'énergie produite par la nourriture en biomasse gélatineuse. Cela restreint le transfert d'énergie dans la chaîne alimentaire, car les méduses ne sont pas facilement consommées par d'autres prédateurs.» (www.slate.fr)
Certaines espèces sont en voie de disparition et d'autres en voie d'expansion...
Aquarius, un satellite pour étudier la salinité des océans
Cet après-midi, la Nasa doit mettre sur orbite le satellite argentin Aquarius, destiné à mesurer la salinité des océans. Les données recueillies permettront de mieux prévoir les changements climatiques.
1.241 kilogrammes pour 7 mètres de long et 2,7 mètres de diamètre : Aquarius est à ce jour le plus gros des quatre satellites argentins jamais conçus. Cet après-midi, une fusée Delta 2 sera lancée afin de le mettre en orbite. La mission du satellite ? Observer l'ensemble de la surface océanique depuis son orbite à 657 kilomètres d'altitude, et fournir des cartes mensuelles avec une résolution de 150 kilomètres de la salinité de surface. Cette dernière ayant un rôle important dans le fonctionnement des océans, et en particulier de la circulation profonde, est très étudiée par les chercheurs. (www.maxisciences.com)
Peu de temps avant le fin du monde prévue en 2012 selon le calendrier maya...
Les dromadaires australiens victimes du réchauffement
Victimes inattendues du changement climatique, des milliers de dromadaires sont menacés de mort dans l'outback australien. Non par le réchauffement lui-même, mais par la 'carbon farming initiative' imaginée par Canberra pour inciter les agriculteurs, les gestionnaires de forêts et les communautés aborigènes à réduire les rejets de gaz à effet de serre du secteur agricole, qui comptent pour près d'un quart des émissions du pays, en échange de crédits carbone négociables sur les marchés internationaux. (www.lemonde.fr)
Des bulles magnétiques détectées aux confins du système solaire
Les sondes Voyager 1 et 2 ont été lancées en 1977. Depuis, elles ont survolé les planètes éloignées du système solaire telles que Jupiter, Saturne, Uranus ou Neptune. A présent à 14 milliards de kilomètres de la Terre, elles ont fourni de nouvelles informations concernant les confins de notre système solaire.
Grâce à un nouveau modèle informatique, les chercheur ont analysé les données collectées par les deux sondes. Ils sont parvenus à déterminer que le champ magnétique du Soleil mesurait environ 160 millions de kilomètres de largeur. Lorsque ce champ se réorganise, ses lignes courbes entraînent la formation de bulles magnétiques. La publication parue hier dans le journal Astrophysique indique que les bulles se seraient formées suite à la rupture des lignes magnétiques solaires. (www.maxisciences.fr)
Source: Yahoo News