Dans une tribune publiée dans l'édition de lundi du Figaro, Nicolas Sarkozy souligne que "ce retrait doit être effectué sans délai" et annonce qu'il convoquera un conseil européen extraordinaire si l'accord n'est pas appliqué rapidement.
"Ce point (ndlr, le retrait) n'est pas négociable à mes yeux. Il doit concerner toutes les forces russes qui sont entrées en Géorgie depuis le 7 août. Si cette clause de l'accord de cessez-le-feu n'était pas appliquée rapidement et totalement, je serais amené à convoquer un conseil européen extraordinaire pour décider des conséquences à en tirer", ajoute-t-il.
Le président français, qui assume la présidence du Conseil européen, a négocié avec Moscou et Tbilissi l'accord de cessez-le-feu en six points que les deux parties ont accepté.
"Sa signature par les présidents Medvedev et (géorgien Mikhaïl) Saakachvili, et par moi-même au nom de l'Union européenne, permet le retrait des forces russes sur leurs positions d'avant le déclenchement des hostilités, conformément aux assurances que le président Medvedev m'a données", poursuit-il.
Dans un communiqué diffusé à la mi-journée, l'Elysée annonçait que Medvedev avait informé Sarkozy que "le retrait des troupes russes commencera demain lundi 18 août en milieu de journée" et que les deux chefs d'Etat s'étaient "accordés sur le déploiement dans les meilleurs délais d'observateurs internationaux de l'OSCE".
"A partir de demain, la Russie entamera le retrait du contingent militaire qui a été envoyé en renfort des soldats de la paix russes après l'agression de la Géorgie contre l'Ossétie du Sud", a confirmé de son côté le Kremlin.
Nicolas Sarkozy et Dmitri Medvedev sont convenus d'avoir un entretien téléphonique quotidien sur la mise en oeuvre de l'accord de cessez-le-feu. La "longue conversation téléphonique" de dimanche était à l'initiative du président français.
Ce dernier, toujours selon l'Elysée, "a mis en garde le président Medvedev contre les conséquences graves qu'une non-exécution rapide et complète de l'accord aurait sur les relations de la Russie avec l'Union européenne".
Source: Yahoo News
"Ce point (ndlr, le retrait) n'est pas négociable à mes yeux. Il doit concerner toutes les forces russes qui sont entrées en Géorgie depuis le 7 août. Si cette clause de l'accord de cessez-le-feu n'était pas appliquée rapidement et totalement, je serais amené à convoquer un conseil européen extraordinaire pour décider des conséquences à en tirer", ajoute-t-il.
Le président français, qui assume la présidence du Conseil européen, a négocié avec Moscou et Tbilissi l'accord de cessez-le-feu en six points que les deux parties ont accepté.
"Sa signature par les présidents Medvedev et (géorgien Mikhaïl) Saakachvili, et par moi-même au nom de l'Union européenne, permet le retrait des forces russes sur leurs positions d'avant le déclenchement des hostilités, conformément aux assurances que le président Medvedev m'a données", poursuit-il.
Dans un communiqué diffusé à la mi-journée, l'Elysée annonçait que Medvedev avait informé Sarkozy que "le retrait des troupes russes commencera demain lundi 18 août en milieu de journée" et que les deux chefs d'Etat s'étaient "accordés sur le déploiement dans les meilleurs délais d'observateurs internationaux de l'OSCE".
"A partir de demain, la Russie entamera le retrait du contingent militaire qui a été envoyé en renfort des soldats de la paix russes après l'agression de la Géorgie contre l'Ossétie du Sud", a confirmé de son côté le Kremlin.
Nicolas Sarkozy et Dmitri Medvedev sont convenus d'avoir un entretien téléphonique quotidien sur la mise en oeuvre de l'accord de cessez-le-feu. La "longue conversation téléphonique" de dimanche était à l'initiative du président français.
Ce dernier, toujours selon l'Elysée, "a mis en garde le président Medvedev contre les conséquences graves qu'une non-exécution rapide et complète de l'accord aurait sur les relations de la Russie avec l'Union européenne".
Source: Yahoo News