"Je ne suis pas venu simplement pour signer des contrats et puis repartir chez moi. je suis venu poser les bases de cet accord stratégique qui nous permettra dans la durée, Chine et France, de construire l'avenir pour l'humanité", a déclaré le président français à des étudiants chinois à l'université Qinghua de Pékin.
Il avait auparavant estimé dans un discours que la Chine devait prendre "toute sa part" dans la lutte contre le réchauffement climatique qui "engage l'avenir de l'humanité".
"Le monde a besoin que la Chine s'engage dans la réduction des émissions de gaz à effet de serre", a-t-il dit.
Il faut que nous arrivions à diviser par deux les émissions de gaz à effet de serre au niveau mondial d'ici à 2050", a-t-il déclaré.
Nicolas Sarkozy a proposé à la Chine de coopérer avec la France pour relever ce défi, notamment à travers le développement de technologies propres et une réflexion sur les modalités de leur aide à l'Afrique.
Il a notamment souhaité que les entreprises françaises, telles que Veolia, Suez, EDF, Areva, Alstom, Saint-Gobain, Total, Bouygues, Peugeot-PSA ou Renault, et les institutions bancaires françaises "nouent des partenariats en Chine et construisent dans la ruée des relations fortes" avec ce pays.
Il a assorti son message d'un avertissement.
"Je veux sans détour vous dire que je défendrai le principe d'un mécanisme de compensation carbone aux frontières de l'Union européenne, à l'égard des pays qui ne se doteraient pas de règles contraignantes de réduction des émissions de gaz à effet de serre", a-t-il dit.
Il avait auparavant estimé dans un discours que la Chine devait prendre "toute sa part" dans la lutte contre le réchauffement climatique qui "engage l'avenir de l'humanité".
"Le monde a besoin que la Chine s'engage dans la réduction des émissions de gaz à effet de serre", a-t-il dit.
Il faut que nous arrivions à diviser par deux les émissions de gaz à effet de serre au niveau mondial d'ici à 2050", a-t-il déclaré.
Nicolas Sarkozy a proposé à la Chine de coopérer avec la France pour relever ce défi, notamment à travers le développement de technologies propres et une réflexion sur les modalités de leur aide à l'Afrique.
Il a notamment souhaité que les entreprises françaises, telles que Veolia, Suez, EDF, Areva, Alstom, Saint-Gobain, Total, Bouygues, Peugeot-PSA ou Renault, et les institutions bancaires françaises "nouent des partenariats en Chine et construisent dans la ruée des relations fortes" avec ce pays.
Il a assorti son message d'un avertissement.
"Je veux sans détour vous dire que je défendrai le principe d'un mécanisme de compensation carbone aux frontières de l'Union européenne, à l'égard des pays qui ne se doteraient pas de règles contraignantes de réduction des émissions de gaz à effet de serre", a-t-il dit.