Dans la salle des sports du Parnasse, on était loin d'une simple "réunion publique" ouverte à tous sur le thème de la "France et l'Europe", comme l'ont montré les nombreux applaudissements qui ont rythmé son intervention. Devant ses partisans, le chef de l'État a défendu tous azimuts le bilan de la présidence française à la tête de l'Union européenne, durant le second trimestre 2008. C'est justement le principal argument de campagne martelé par l'UMP depuis le début de la campagne européenne.
Dans la salle des sports du Parnasse, on était loin d'une simple "réunion publique" ouverte à tous sur le thème de la "France et l'Europe", comme l'ont montré les nombreux applaudissements qui ont rythmé son intervention. Devant ses partisans, le chef de l'État a défendu tous azimuts le bilan de la présidence française à la tête de l'Union européenne, durant le second trimestre 2008. C'est justement le principal argument de campagne martelé par l'UMP depuis le début de la campagne européenne.
Géorgie, G20, Gaza, crise financière, Union pour la Méditerranée... Nicolas Sarkozy a vanté à de nombreuses reprises l'Europe "volontariste" que la France a, selon lui, incarné pendant six mois. "Si le G20 s'est réuni à Washington, puis à Londres, c'est parce que la France l'a demandé au nom des 27 Européens unis." Une France "européenne" que le président a tenu à rattacher directement à sa conduite intérieure.
"Nous n'avons pas eu de véritable ambition pour l'Europe parce que nous n'avions plus assez ...
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Source: Lepoint.fr via Yahoo News
Dans la salle des sports du Parnasse, on était loin d'une simple "réunion publique" ouverte à tous sur le thème de la "France et l'Europe", comme l'ont montré les nombreux applaudissements qui ont rythmé son intervention. Devant ses partisans, le chef de l'État a défendu tous azimuts le bilan de la présidence française à la tête de l'Union européenne, durant le second trimestre 2008. C'est justement le principal argument de campagne martelé par l'UMP depuis le début de la campagne européenne.
Géorgie, G20, Gaza, crise financière, Union pour la Méditerranée... Nicolas Sarkozy a vanté à de nombreuses reprises l'Europe "volontariste" que la France a, selon lui, incarné pendant six mois. "Si le G20 s'est réuni à Washington, puis à Londres, c'est parce que la France l'a demandé au nom des 27 Européens unis." Une France "européenne" que le président a tenu à rattacher directement à sa conduite intérieure.
"Nous n'avons pas eu de véritable ambition pour l'Europe parce que nous n'avions plus assez ...
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