Notre revue de presse politique du 28 Octobre 2011
Sarkozy n'est pas encore candidat mais est déjà en campagne
Pas encore candidat mais déjà en campagne, Nicolas Sarkozy a dramatisé jeudi soir les enjeux et les effets de la crise économique et financière pour mieux se présenter en président protecteur des Français et en gestionnaire responsable. Lors d'une longue interview sur TF1 et France 2 après un sommet européen sur la crise de la zone euro, le chef de l'Etat a déclaré que sans accord à Bruxelles sur le sauvetage de la Grèce, le "monde entier" aurait "sombré dans la catastrophe". (www.fr.reuters.com) C'est ce qu'il a toujours fait non? Il s'imagine être une grande chance pour la France.
Hollande s'en prend au "quinquennat raté" de Sarkozy
La posture offensive adoptée par Nicolas Sarkozy lors de son intervention télévisée "n'est qu'un habillage commode pour justifier un quinquennat raté", estime François Hollande à propos de son futur rival à l'élection présidentielle. "Nicolas Sarkozy ne protège pas les Français. En cinq ans, il les aura rendus plus vulnérables et
plus dépendants, du fait de l'endettement public et de la dégradation de notre compétitivité", accuse-t-il. (www.fr.reuters.com) Monsieur Hollande aurait-il fait mieux que Monsieur Sarkozy? Pas sûr, tous les politiciens se valent.
Les arguments du candidat Sarkozy aux présidentielles
Les socialistes ont toujours été de mauvais gestionnaires. C'était déjà le cas lors de la campagne de 2007 mais à l'aune de la crise économique profonde, ces critiques vont devenir un angle d'attaque essentiel. Si la France est dans cette situation, ce n'est pas la faute de la droite et encore moins de Nicolas Sarkozy mais bien celle de la gauche, mauvaise gestionnaire qu'elle est. Nicolas Sarkozy va chercher loin, chez François Mitterrand. «En 1983, on a expliqué aux Français qu'on pouvait passer de la retraite à 65 ans à la retraite à 60 ans, les Allemands ont fait le chemin inverse», a-t-il commencé. Et en 2001, ce sont les 35 heures de Martine Aubry, «cette folie», qui «ont mis la pagaille partout». «Elles ont pesé économiquement et socialement», a-t-il insisté. (www.20minutes.fr) Tout est bon pour gagner sa place, surtout les critiques.
Source: Yahoo News
Référencement Internet et création de sites Web ICI
Pas encore candidat mais déjà en campagne, Nicolas Sarkozy a dramatisé jeudi soir les enjeux et les effets de la crise économique et financière pour mieux se présenter en président protecteur des Français et en gestionnaire responsable. Lors d'une longue interview sur TF1 et France 2 après un sommet européen sur la crise de la zone euro, le chef de l'Etat a déclaré que sans accord à Bruxelles sur le sauvetage de la Grèce, le "monde entier" aurait "sombré dans la catastrophe". (www.fr.reuters.com) C'est ce qu'il a toujours fait non? Il s'imagine être une grande chance pour la France.
Hollande s'en prend au "quinquennat raté" de Sarkozy
La posture offensive adoptée par Nicolas Sarkozy lors de son intervention télévisée "n'est qu'un habillage commode pour justifier un quinquennat raté", estime François Hollande à propos de son futur rival à l'élection présidentielle. "Nicolas Sarkozy ne protège pas les Français. En cinq ans, il les aura rendus plus vulnérables et
plus dépendants, du fait de l'endettement public et de la dégradation de notre compétitivité", accuse-t-il. (www.fr.reuters.com) Monsieur Hollande aurait-il fait mieux que Monsieur Sarkozy? Pas sûr, tous les politiciens se valent.
Les arguments du candidat Sarkozy aux présidentielles
Les socialistes ont toujours été de mauvais gestionnaires. C'était déjà le cas lors de la campagne de 2007 mais à l'aune de la crise économique profonde, ces critiques vont devenir un angle d'attaque essentiel. Si la France est dans cette situation, ce n'est pas la faute de la droite et encore moins de Nicolas Sarkozy mais bien celle de la gauche, mauvaise gestionnaire qu'elle est. Nicolas Sarkozy va chercher loin, chez François Mitterrand. «En 1983, on a expliqué aux Français qu'on pouvait passer de la retraite à 65 ans à la retraite à 60 ans, les Allemands ont fait le chemin inverse», a-t-il commencé. Et en 2001, ce sont les 35 heures de Martine Aubry, «cette folie», qui «ont mis la pagaille partout». «Elles ont pesé économiquement et socialement», a-t-il insisté. (www.20minutes.fr) Tout est bon pour gagner sa place, surtout les critiques.
Source: Yahoo News
Référencement Internet et création de sites Web ICI