Pendant près de deux heures, le chef de l'Etat a sacrifié à la tradition en parcourant au pas de charge quelques uns des stands du salon, serrant des mains et caressant le bétail dans une cohue indescriptible rythmée par les "Nicolas, Nicolas" d'une "claque" bien organisée de sympathisants.
"Je voulais d'abord adresser un message d'espoir à l'agriculture", a-t-il lancé à la presse, en nage, à l'issue de sa visite. "On a besoin d'une agriculture française qui ait des prix, qui paie des producteurs, des entrepreneurs. On a besoin d'une agriculture européenne avec une Europe qui défend ses agriculteurs", a-t-il ajouté.
"Il y a un milliard de gens qui meurent de faim dans le monde. Le problème n'est pas la réduction de la production agricole mais au contraire l'augmentation de la production agricole", a plaidé Nicolas Sarkozy.
Interrogé sur l'inquiétude des agriculteurs français face au réaménagement de la PAC engagé après le compromis adopté par l'Union européenne en novembre à Bruxelles, il a souhaité que cette politique soit "juste".
"Et parce qu'elle sera juste, elle sera pérenne. On a notamment des éleveurs qui souffrent, on a des zones de montagne qui souffrent et il va falloir faire des arbitrages en accord avec le dialogue social et avec les organisations agricoles", a insisté le président.
Source: Yahoo News
"Je voulais d'abord adresser un message d'espoir à l'agriculture", a-t-il lancé à la presse, en nage, à l'issue de sa visite. "On a besoin d'une agriculture française qui ait des prix, qui paie des producteurs, des entrepreneurs. On a besoin d'une agriculture européenne avec une Europe qui défend ses agriculteurs", a-t-il ajouté.
"Il y a un milliard de gens qui meurent de faim dans le monde. Le problème n'est pas la réduction de la production agricole mais au contraire l'augmentation de la production agricole", a plaidé Nicolas Sarkozy.
Interrogé sur l'inquiétude des agriculteurs français face au réaménagement de la PAC engagé après le compromis adopté par l'Union européenne en novembre à Bruxelles, il a souhaité que cette politique soit "juste".
"Et parce qu'elle sera juste, elle sera pérenne. On a notamment des éleveurs qui souffrent, on a des zones de montagne qui souffrent et il va falloir faire des arbitrages en accord avec le dialogue social et avec les organisations agricoles", a insisté le président.
Source: Yahoo News