A en croire l’entourage de Nicolas Sarkozy, le Conseil devrait se contenter lundi de rappeler "fermement" à la Russie que l’accord de cessez-le-feu en six points négocié par Nicolas Sarkozy à la mi-août lors de sa visite à Moscou et à Tbilissi "doit être appliqué dans son intégralité". La Russie peut décider de mettre en place des sanctions à l’encontre d’autres pays, même si elle n’y est pas favorable, a déclaré le président russe Dmitri Medvedev dans une interview à des chaînes de télévision russes.
"Nous ne sommes pas partisans de sanctions. On n’en prend que dans des cas extrêmes", a-t-il déclaré à la veille d’un sommet de l’Union européenne consacré à la crise géorgienne. Le recours aux sanctions exige l’adoption de lois spéciales, a-t-il remarqué, avant d’ajouter : "S’il le faut, nous pourrons adopter de telles lois". Il a toutefois souligné que cette option était "contre-productive". De son côté, le Premier ministre russe Vladimir Poutine a affirmé hier que la Russie se trouvait dans son droit en Géorgie et a une nouvelle fois accusé les Européens de n’agir que dans leur propre intérêt, voire dans celui des Etats-Unis. "Quoi qu’il arrive et quoi qu’on en dise, la vérité est de notre côté.
Nous nous conduisons de manière absolument morale et conforme au droit international en vigueur", a-t-il dit dans des déclarations retransmises par la chaîne de télévision Vesti-24 à la veille d’un sommet extraordinaire de l’Union européenne (Ue) consacré à la crise géorgienne.
Source: Le Soleil
"Nous ne sommes pas partisans de sanctions. On n’en prend que dans des cas extrêmes", a-t-il déclaré à la veille d’un sommet de l’Union européenne consacré à la crise géorgienne. Le recours aux sanctions exige l’adoption de lois spéciales, a-t-il remarqué, avant d’ajouter : "S’il le faut, nous pourrons adopter de telles lois". Il a toutefois souligné que cette option était "contre-productive". De son côté, le Premier ministre russe Vladimir Poutine a affirmé hier que la Russie se trouvait dans son droit en Géorgie et a une nouvelle fois accusé les Européens de n’agir que dans leur propre intérêt, voire dans celui des Etats-Unis. "Quoi qu’il arrive et quoi qu’on en dise, la vérité est de notre côté.
Nous nous conduisons de manière absolument morale et conforme au droit international en vigueur", a-t-il dit dans des déclarations retransmises par la chaîne de télévision Vesti-24 à la veille d’un sommet extraordinaire de l’Union européenne (Ue) consacré à la crise géorgienne.
Source: Le Soleil