Dans un Journal paru ce samedi, l'ancienne candidate à l'élection présidentielle revendique une "antériorité" et une "permanence" pour incarner un "leadership".
"On verra si je suis seule au moment des régionales. En attendant, je ne demande rien et je n'ai rien à distribuer", dit-elle.
"Seule compte ma constance à incarner un leadership, la constance de mon discours, et ce que je veux dire aux Français", ajoute la présidente de Poitou-Charentes.
Ségolène Royal reste en course pour la présidentielle de 2012 et compte sur le soutien de la base militante et de l'opinion.
Mais elle a vu récemment nombre de ses soutiens politiques prendre leur distance.
Contrairement à la précédente Fête de la Fraternité il y a un an au Zénith de Paris, ne devraient venir à Montpellier ni son ex-lieutenant Vincent Peillon, ni son ami l'avocat Jean-Pierre Mignard, ni le député Manuel Valls, qui brigue désormais l'investiture pour 2012.
Vincent Peillon a pris pour sa part la direction de l'ancien courant de Ségolène Royal, "Espoir à gauche", et court sous sa propre casaque.
Pour Ségolène Royal, les commentaires sur sa solitude sont surtout le fait de la presse ou de responsables socialistes cherchant à se positionner.
La plupart mettent en cause la "méthode Royal" et ses changement de cap, à l'image de ses rapports avec le Premier secrétaire du PS, Martine Aubry ou de ses propos sur les fraudes présumées lors de l'élection à la tête du parti.
L'opposition tonitruante de l'ancienne candidate à la présidentielle à la taxe carbone a également semé le trouble et lui a valu de vives attaques des écologistes.
Dans le JDD, Ségolène Royal persiste et signe.
"Je me suis opposée à une aberration: faire porter la charge de la preuve sur des consommateurs prisonniers, puisque privés d'alternative", assure-t-elle.
A Montpellier, la présidente de la région Poitou-Charentes devrait pouvoir compter sur son "premier cercle", Jean-Louis Bianco, Najat Belkacem, Dominique Bertinotti ou Delphine Batho.
Pierre Bergé, son mécène, a assuré sur Europe 1 qu'il restait aux côtés de Ségolène Royal, précisant qu'il continuerait assumer le coût des locaux de Désirs d'avenir à Paris.
Cible de nombreuses critiques, l'ancienne candidate à la présidentielle s'est insurgée vendredi soir dans un communiqué contre des "attaques et insinuations de toute nature" visant sa vie privée et a défendu son compagnon.
"Je demande un minimum de respect pour ma vie privée et que cesse ce voyeurisme", déclare-t-elle.
"Je n'accepterai pas que l'on porte atteinte à l'honneur et à la considération d'un homme qui n'a rien à voir avec le milieu politique, pas plus que je n'accepterai que mon engagement politique lui porte préjudice", ajoute-t-elle.
Ségolène Royal avait déjà démenti une information sur une facture de 41.000 euros qui aurait été présentée à Pierre Bergé par une société prestataire dirigée par son compagnon.
Source: Reuters via Yahoo News
"On verra si je suis seule au moment des régionales. En attendant, je ne demande rien et je n'ai rien à distribuer", dit-elle.
"Seule compte ma constance à incarner un leadership, la constance de mon discours, et ce que je veux dire aux Français", ajoute la présidente de Poitou-Charentes.
Ségolène Royal reste en course pour la présidentielle de 2012 et compte sur le soutien de la base militante et de l'opinion.
Mais elle a vu récemment nombre de ses soutiens politiques prendre leur distance.
Contrairement à la précédente Fête de la Fraternité il y a un an au Zénith de Paris, ne devraient venir à Montpellier ni son ex-lieutenant Vincent Peillon, ni son ami l'avocat Jean-Pierre Mignard, ni le député Manuel Valls, qui brigue désormais l'investiture pour 2012.
Vincent Peillon a pris pour sa part la direction de l'ancien courant de Ségolène Royal, "Espoir à gauche", et court sous sa propre casaque.
Pour Ségolène Royal, les commentaires sur sa solitude sont surtout le fait de la presse ou de responsables socialistes cherchant à se positionner.
La plupart mettent en cause la "méthode Royal" et ses changement de cap, à l'image de ses rapports avec le Premier secrétaire du PS, Martine Aubry ou de ses propos sur les fraudes présumées lors de l'élection à la tête du parti.
L'opposition tonitruante de l'ancienne candidate à la présidentielle à la taxe carbone a également semé le trouble et lui a valu de vives attaques des écologistes.
Dans le JDD, Ségolène Royal persiste et signe.
"Je me suis opposée à une aberration: faire porter la charge de la preuve sur des consommateurs prisonniers, puisque privés d'alternative", assure-t-elle.
A Montpellier, la présidente de la région Poitou-Charentes devrait pouvoir compter sur son "premier cercle", Jean-Louis Bianco, Najat Belkacem, Dominique Bertinotti ou Delphine Batho.
Pierre Bergé, son mécène, a assuré sur Europe 1 qu'il restait aux côtés de Ségolène Royal, précisant qu'il continuerait assumer le coût des locaux de Désirs d'avenir à Paris.
Cible de nombreuses critiques, l'ancienne candidate à la présidentielle s'est insurgée vendredi soir dans un communiqué contre des "attaques et insinuations de toute nature" visant sa vie privée et a défendu son compagnon.
"Je demande un minimum de respect pour ma vie privée et que cesse ce voyeurisme", déclare-t-elle.
"Je n'accepterai pas que l'on porte atteinte à l'honneur et à la considération d'un homme qui n'a rien à voir avec le milieu politique, pas plus que je n'accepterai que mon engagement politique lui porte préjudice", ajoute-t-elle.
Ségolène Royal avait déjà démenti une information sur une facture de 41.000 euros qui aurait été présentée à Pierre Bergé par une société prestataire dirigée par son compagnon.
Source: Reuters via Yahoo News