Dakar autorise le retour de son ambassadeur à Téhéran
Le chef de l’Etat sénégalais Me Abdoulaye Wade a annoncé, jeudi à Dakar, sa décision d’autoriser le retour en Iran de l’ambassadeur du Sénégal, en mettant en avant les efforts fournis par le président de la Turquie,qui avait offert ses bons offices pour une intermédiation, a appris l’APS de source officielle. Le chef de l’Etat a informé le Conseil (des ministres) de sa décision d’autoriser le retour en Iran de l’ambassadeur du Sénégal, après les efforts fournis par le président de la Turquie, qui avait offert ses bons offices pour une intermédiation, indique le communiqué du conseil des ministres. La réussite (de cette médiation) s’est matérialisée par une audience accordée par le président de la République à la partie iranienne, représentée par son ministre des Affaires étrangères. Le Sénégal avait rappelé son ambassadeur en Iran pour consultation, à la mi-décembre 2010, après la découverte par le Nigeria d’une cargaison d’armes en provenance de Téhéran. Ces armes, selon des informations obtenues par les autorités sénégalaises, seraient destinées aux rebelles du Mouvement des forces démocratiques de Casamance (MFDC), dans le sud du Sénégal. Selon les mêmes informations, elles devraient transiter par la Gambie. (AP)
Présidentielle 2012: Talla Sylla sollicite l’investiture de l’Alliance Jëf-Jël
Talla Sylla annonce qu’il s’est retiré de la présidence de l’Alliance Jëf-Jël, afin de solliciter l’investiture de ce parti pour l’élection présidentielle du 26 février 2012. Considérant la décision du 13-ème conseil national de l’Alliance Jëf-Jël m’engageant à être candidat à l’investiture de Bennoo Taxawal Senegaal pour la présidentielle de 2012, j’ai décidé de me retirer de la présidence de l’Alliance Jëf-Jël [et] de solliciter l’investiture de l’Alliance Jëf Jël pour l’élection présidentielle du 26 février 2012. Talla Sylla considère ‘’que le futur président de la République doit être à équidistance des partis politiques conformément aux dispositions prévues par le projet de charte fondamentale proposé par [son] parti à la suite de rencontres citoyennes’’. Il affirme par ailleurs être ‘’conscient de la nécessité d’opérer des ruptures majeures dans la façon de faire la politique au Sénégal’’. (AP)
La crise ivoirienne au menu du 15-ème sommet ordinaire de l’UEMOA
La quinzième conférence des chefs d’Etat et de gouvernement de l’Union économique et monétaire ouest africaine (UEMOA) s’ouvre samedi matin à Bamako, ‘’sous le signe de la crise ivoirienne’’, a appris l’APS, de source officielle dans la capitale malienne. Ce sommet ordinaire va notamment se pencher sur la crise en Côte d’Ivoire et son impact sur la marche de l’UEMOA, dont la mise en œuvre des programmes communautaires, a indiqué un officiel de la Commission de Ouagadougou. La Côte d’Ivoire, un des huit Etats membres de l’Union avec le Bénin, le Burkina, la Guinée-Bissau, le Mali, le Niger, le Sénégal et le Togo, s’est retrouvée avec deux chefs d’Etat après le second tour de l’élection présidentielle, tenu le 28 novembre dernier. Le président sortant Laurent Gbagbo conteste les résultats de ce scrutin qui lui donnaient perdant face à son challenger, Alassane Dramane Ouattara, le chef d’Etat ivoirien reconnu par la communauté internationale. Guillaume Soro, le Premier ministre de M. Ouattara, est attendu à Bamako, où il devra représenter son pays à l’occasion du 15-ème sommet de l’UEMOA. M. Soro mène actuellement une tournée dans des capitales de la sous-région. Une partie au conflit politique en Côte d’Ivoire a saisi récemment la Cour de justice de l’UEMOA pour contester la décision du Conseil des ministres de l’Union, de transférer la signature des comptes de l’Etat ivoirien au président Ouattara. Ce plaignant, identifié comme celui du président sortant, a saisi la Cour sur la légalité de la décision du Conseil des ministres de l’UEMOA, tenu à Bissau. Cette partie demande aussi d’ordonner le sursis sur l’exécution de cette décision des ministres. (AP)
Source :http://www.senegalenligne.com
Le chef de l’Etat sénégalais Me Abdoulaye Wade a annoncé, jeudi à Dakar, sa décision d’autoriser le retour en Iran de l’ambassadeur du Sénégal, en mettant en avant les efforts fournis par le président de la Turquie,qui avait offert ses bons offices pour une intermédiation, a appris l’APS de source officielle. Le chef de l’Etat a informé le Conseil (des ministres) de sa décision d’autoriser le retour en Iran de l’ambassadeur du Sénégal, après les efforts fournis par le président de la Turquie, qui avait offert ses bons offices pour une intermédiation, indique le communiqué du conseil des ministres. La réussite (de cette médiation) s’est matérialisée par une audience accordée par le président de la République à la partie iranienne, représentée par son ministre des Affaires étrangères. Le Sénégal avait rappelé son ambassadeur en Iran pour consultation, à la mi-décembre 2010, après la découverte par le Nigeria d’une cargaison d’armes en provenance de Téhéran. Ces armes, selon des informations obtenues par les autorités sénégalaises, seraient destinées aux rebelles du Mouvement des forces démocratiques de Casamance (MFDC), dans le sud du Sénégal. Selon les mêmes informations, elles devraient transiter par la Gambie. (AP)
Présidentielle 2012: Talla Sylla sollicite l’investiture de l’Alliance Jëf-Jël
Talla Sylla annonce qu’il s’est retiré de la présidence de l’Alliance Jëf-Jël, afin de solliciter l’investiture de ce parti pour l’élection présidentielle du 26 février 2012. Considérant la décision du 13-ème conseil national de l’Alliance Jëf-Jël m’engageant à être candidat à l’investiture de Bennoo Taxawal Senegaal pour la présidentielle de 2012, j’ai décidé de me retirer de la présidence de l’Alliance Jëf-Jël [et] de solliciter l’investiture de l’Alliance Jëf Jël pour l’élection présidentielle du 26 février 2012. Talla Sylla considère ‘’que le futur président de la République doit être à équidistance des partis politiques conformément aux dispositions prévues par le projet de charte fondamentale proposé par [son] parti à la suite de rencontres citoyennes’’. Il affirme par ailleurs être ‘’conscient de la nécessité d’opérer des ruptures majeures dans la façon de faire la politique au Sénégal’’. (AP)
La crise ivoirienne au menu du 15-ème sommet ordinaire de l’UEMOA
La quinzième conférence des chefs d’Etat et de gouvernement de l’Union économique et monétaire ouest africaine (UEMOA) s’ouvre samedi matin à Bamako, ‘’sous le signe de la crise ivoirienne’’, a appris l’APS, de source officielle dans la capitale malienne. Ce sommet ordinaire va notamment se pencher sur la crise en Côte d’Ivoire et son impact sur la marche de l’UEMOA, dont la mise en œuvre des programmes communautaires, a indiqué un officiel de la Commission de Ouagadougou. La Côte d’Ivoire, un des huit Etats membres de l’Union avec le Bénin, le Burkina, la Guinée-Bissau, le Mali, le Niger, le Sénégal et le Togo, s’est retrouvée avec deux chefs d’Etat après le second tour de l’élection présidentielle, tenu le 28 novembre dernier. Le président sortant Laurent Gbagbo conteste les résultats de ce scrutin qui lui donnaient perdant face à son challenger, Alassane Dramane Ouattara, le chef d’Etat ivoirien reconnu par la communauté internationale. Guillaume Soro, le Premier ministre de M. Ouattara, est attendu à Bamako, où il devra représenter son pays à l’occasion du 15-ème sommet de l’UEMOA. M. Soro mène actuellement une tournée dans des capitales de la sous-région. Une partie au conflit politique en Côte d’Ivoire a saisi récemment la Cour de justice de l’UEMOA pour contester la décision du Conseil des ministres de l’Union, de transférer la signature des comptes de l’Etat ivoirien au président Ouattara. Ce plaignant, identifié comme celui du président sortant, a saisi la Cour sur la légalité de la décision du Conseil des ministres de l’UEMOA, tenu à Bissau. Cette partie demande aussi d’ordonner le sursis sur l’exécution de cette décision des ministres. (AP)
Source :http://www.senegalenligne.com