La Tribune
Les géants chinois dans le gotha boursier mondial
Le classement actuel des plus importantes capitalisations boursières mondiales est éloquent : parmi les 20 champions toutes catégories, 7 sont dorénavant d'origine chinoise. Le pétrolier Petrochina vient d'ailleurs de reléguer à la troisième place le conglomérat américain General Electric. Spéculation oblige, ces groupes offrent des ratios boursiers bien supérieurs à leurs rivaux occidentaux.
Maroc : contrats pour Alstom et Areva
Les deux groupes français ont décroché, hier, des marchés au Maroc. Pour Alstom, il s'agit de réaliser la première ligne à grande vitesse entre Tanger et Casablanca.
Alliance Natixis-Société Générale à l'étude
Plutôt que de rapprocher leurs organes centraux, l'Écureuil et les Banques Populaires pourraient choisir d'apporter leur filiale commune Natixis à la Société Générale, qui stabiliserait son capital.
Microsoft se plie aux lois de Bruxelles
Le géant informatique américain a conclu un accord hier avec la Commission européenne. Après un bras de fer homérique, il se range aux exigences de Bruxelles.
Sécu : Bachelot dévoile ses projets
La ministre de la Santé annonce la vente de médicaments en libre-service dans les pharmacies. Elle laisse la porte ouverte dans le conflit avec les internes et prévient que le DMP sera un chantier de long terme.
Le classement actuel des plus importantes capitalisations boursières mondiales est éloquent : parmi les 20 champions toutes catégories, 7 sont dorénavant d'origine chinoise. Le pétrolier Petrochina vient d'ailleurs de reléguer à la troisième place le conglomérat américain General Electric. Spéculation oblige, ces groupes offrent des ratios boursiers bien supérieurs à leurs rivaux occidentaux.
Maroc : contrats pour Alstom et Areva
Les deux groupes français ont décroché, hier, des marchés au Maroc. Pour Alstom, il s'agit de réaliser la première ligne à grande vitesse entre Tanger et Casablanca.
Alliance Natixis-Société Générale à l'étude
Plutôt que de rapprocher leurs organes centraux, l'Écureuil et les Banques Populaires pourraient choisir d'apporter leur filiale commune Natixis à la Société Générale, qui stabiliserait son capital.
Microsoft se plie aux lois de Bruxelles
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Sécu : Bachelot dévoile ses projets
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Les Echos
Sarkozy en campagne pour l'industrie française au Maroc
Nicolas Sarkozy a entamé hier soir une longue visite d'Etat de trois jours au Maroc. Dès son arrivée, il a engrangé de nombreux contrats économiques et commerciaux, à commencer par la livraison d'une ligne TGV entre Tanger et Marrakech. Une déclaration d'intention a aussi été signée en vue de doter, à terme, le Maroc d'une centrale nucléaire dans le sud-ouest du pays. Sur le plan militaire, en revanche, le président français n'est pas parvenu à imposer les avions Rafale. Le Maroc confirme ainsi sa préférence pour les F16 américains après une série de maladresses françaises. Le point fort de ce voyage devrait être le discours que Nicolas Sarkozy consacrera aujourd'hui à Tanger à son projet d'Union méditerranéenne. Une organisation que le président français veut bâtir sur une logique fondée sur la parité et la coresponsabilité.
Conférence sur l'emploi et le pouvoir d'achat aujourd'hui à Bercy
CNE : le coup de grâce du droit international
Le contrat nouvelles embauches, qui a permis près de 1 million de recrutements depuis sa création, est sur le point d'être condamné par l'Organisation internationale du travail. Celle-ci s'apprête à dénoncer le non-respect, par la France, de la convention 158 de l'OIT, qui interdit qu'un salarié soit licencié sans « motif valable ». L'arrêt, qui sera officiellement rendu autour du 15 novembre, est déjà connu dans ses grandes lignes, le comité chargé de cette affaire ayant rendu ses conclusions la semaine dernière. Cette décision a en tout cas un avantage, celui de faciliter les négociations sur le marché du travail et de clarifier la situation pour le gouvernement. Celui-ci organise, aujourd'hui, sa deuxième conférence sociale, sur l'emploi et le pouvoir d'achat. Qu'il s'agisse de la réforme du mode de fixation du SMIC ou de la mesure du pouvoir d'achat, la plupart des sujets vont être renvoyés à des groupes de travail. Le débat devrait néanmoins, dès aujourd'hui, s'exacerber sur la conditionnalité des aides aux entreprises.
Nicolas Sarkozy a entamé hier soir une longue visite d'Etat de trois jours au Maroc. Dès son arrivée, il a engrangé de nombreux contrats économiques et commerciaux, à commencer par la livraison d'une ligne TGV entre Tanger et Marrakech. Une déclaration d'intention a aussi été signée en vue de doter, à terme, le Maroc d'une centrale nucléaire dans le sud-ouest du pays. Sur le plan militaire, en revanche, le président français n'est pas parvenu à imposer les avions Rafale. Le Maroc confirme ainsi sa préférence pour les F16 américains après une série de maladresses françaises. Le point fort de ce voyage devrait être le discours que Nicolas Sarkozy consacrera aujourd'hui à Tanger à son projet d'Union méditerranéenne. Une organisation que le président français veut bâtir sur une logique fondée sur la parité et la coresponsabilité.
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CNE : le coup de grâce du droit international
Le contrat nouvelles embauches, qui a permis près de 1 million de recrutements depuis sa création, est sur le point d'être condamné par l'Organisation internationale du travail. Celle-ci s'apprête à dénoncer le non-respect, par la France, de la convention 158 de l'OIT, qui interdit qu'un salarié soit licencié sans « motif valable ». L'arrêt, qui sera officiellement rendu autour du 15 novembre, est déjà connu dans ses grandes lignes, le comité chargé de cette affaire ayant rendu ses conclusions la semaine dernière. Cette décision a en tout cas un avantage, celui de faciliter les négociations sur le marché du travail et de clarifier la situation pour le gouvernement. Celui-ci organise, aujourd'hui, sa deuxième conférence sociale, sur l'emploi et le pouvoir d'achat. Qu'il s'agisse de la réforme du mode de fixation du SMIC ou de la mesure du pouvoir d'achat, la plupart des sujets vont être renvoyés à des groupes de travail. Le débat devrait néanmoins, dès aujourd'hui, s'exacerber sur la conditionnalité des aides aux entreprises.