"Chacun voit bien le risque à voir le judiciaire contre le constitutionnel", selon lui. "Dans notre droit, le Conseil constitutionnel, c'est la clef de voûte. A partir du moment où les sages ont parlé, cette décision s'applique", a-t-il lancé.
Il a souhaité "que l'on évite de diviser les Français" sur cette question comme sur celle de la laïcité.
"Il faut de la vigilance, la République est un bien précieux" et "il faut éviter toute dérive, toute tentation" a-t-il assuré.
"Sur la laïcité je ne transige pas, je ne comprend pas pourquoi nous ouvrons la boîte de Pandore de la laïcité, alors que c'est une des forces de notre société", a-t-il plaidé, faisant allusion notamment à la récente polémique sur les propos de la directrice de cabinet du président, Emmanuelle Mignon sur les sectes.
Il s'est également déclaré "inquiet de certaines dérives et tentations" en matière de politique étrangère, citant "le retour de la France dans l'Otan" et "un engagement inconsidéré sur les théâtres extérieurs, ou en tout cas non justifiés".
Dominique de Villepin a aussi estimé que pour que "l'UMP existe", il faut qu'elle ait son "autonomie", "sa place propre" avec "un président élu".
"Si l'on veut que l'UMP existe, il faut que l'UMP ait sa place propre, son autonomie, sa liberté propre avec un président élu", a déclaré M. de Villepin.
Aujourd'hui, "il n'y a malheureusement pas d'UMP" et "quand on fait le choix de ne pas avoir de président de l'UMP, on a le risque d'avoir une majorité très absente", a-t-il lancé.
"Nicolas Sarkozy a été président de l'UMP, il a fait vivre ce mouvement" et "la possibilité pour Nicolas Sarkozy de devenir président de la République s'est inscrite dans une évolution politique", a-t-il rappelé.
Pour lui, "un des problèmes aujourd'hui, c'est qu'il n'y a pas assez de voix capables de dire les choses" et "qu'on ostracise ceux qui disent des choses en les désignant comme des opposants".
Le parti de la majorité présidentielle est dirigé par un secrétaire général, Patrick Devedjian, et plusieurs vice-présidents.
Le député UMP François Goulard (villepiniste) a déclaré qu'il envisageait "de mettre en place quelque chose" autour de lui "dans quelques mois", faisant allusion à "un courant, un regroupement ou un groupe parlementaire", dans un entretien au magazine Bretons daté de mars.
Il a souhaité "que l'on évite de diviser les Français" sur cette question comme sur celle de la laïcité.
"Il faut de la vigilance, la République est un bien précieux" et "il faut éviter toute dérive, toute tentation" a-t-il assuré.
"Sur la laïcité je ne transige pas, je ne comprend pas pourquoi nous ouvrons la boîte de Pandore de la laïcité, alors que c'est une des forces de notre société", a-t-il plaidé, faisant allusion notamment à la récente polémique sur les propos de la directrice de cabinet du président, Emmanuelle Mignon sur les sectes.
Il s'est également déclaré "inquiet de certaines dérives et tentations" en matière de politique étrangère, citant "le retour de la France dans l'Otan" et "un engagement inconsidéré sur les théâtres extérieurs, ou en tout cas non justifiés".
Dominique de Villepin a aussi estimé que pour que "l'UMP existe", il faut qu'elle ait son "autonomie", "sa place propre" avec "un président élu".
"Si l'on veut que l'UMP existe, il faut que l'UMP ait sa place propre, son autonomie, sa liberté propre avec un président élu", a déclaré M. de Villepin.
Aujourd'hui, "il n'y a malheureusement pas d'UMP" et "quand on fait le choix de ne pas avoir de président de l'UMP, on a le risque d'avoir une majorité très absente", a-t-il lancé.
"Nicolas Sarkozy a été président de l'UMP, il a fait vivre ce mouvement" et "la possibilité pour Nicolas Sarkozy de devenir président de la République s'est inscrite dans une évolution politique", a-t-il rappelé.
Pour lui, "un des problèmes aujourd'hui, c'est qu'il n'y a pas assez de voix capables de dire les choses" et "qu'on ostracise ceux qui disent des choses en les désignant comme des opposants".
Le parti de la majorité présidentielle est dirigé par un secrétaire général, Patrick Devedjian, et plusieurs vice-présidents.
Le député UMP François Goulard (villepiniste) a déclaré qu'il envisageait "de mettre en place quelque chose" autour de lui "dans quelques mois", faisant allusion à "un courant, un regroupement ou un groupe parlementaire", dans un entretien au magazine Bretons daté de mars.