"Le président de la République et le Premier ministre veulent l'épreuve de force, veulent le conflit", a indiqué François Hollande estimant "périlleux de se mettre dans cette disposition d'esprit". "Je ne pense pas que le pays ait besoin d'un conflit généralisé et durable. Je pense qu'on doit négocier, discuter et éviter le conflit". "Quand on a une semaine pour éviter un conflit, on utilise toutes les modalités de la discussion, de la négociation pour trouver les apaisements nécessaires", a-t-il insisté.
La quasi-totalité des syndicats des entreprises touchées par la réforme des régimes spéciaux de retraite appellent à participer à la grève le 14 novembre, même si certains sont ballottés entre les ultimes propositions du gouvernement et sa détermination à ne rien céder sur le fond.
Les syndicats autonomes (Unsa) de la RATP, ainsi que la CFDT et la CFE-CGC de l'énergie (EDF-GDF), ont annoncé jeudi qu'ils appelaient à la grève le 14 novembre contre la réforme des régimes spéciaux de retraite.
L'Unsa, deuxième syndicat de la RATP (21,12%) a déposé un "préavis de grève illimité à partir du mercredi" 14 novembre, sur le réseau Bus, Métro et RER, a indiqué un de ses porte-parole jeudi à l'AFP.
La présidente de la SNCF, Anne-Marie Idrac, met en garde ses employés sur les incertitudes d'une grève reconductible: «aventure inconnue et dangereuse», qui «pénaliserait nos clients». «Ne prenons pas le risque de créer un divorce avec les Français».
L'Unsa-Energie et Sud-Energie, non reconnus représentatifs, appellent pour leur part à une grève reconductible, avec action sur l'outil de travail.
Malgré la perspective des élections professionnelles du 29 novembre, les cinq fédérations de l'Energie veulent afficher leur unité, dans l'espoir d'atteindre une mobilisation au moins aussi importante que lors du précédent mouvement de grève, le 18 octobre, qui avait mobilisé 51,9% des salariés à EDF et 53,3% à GDF.
La quasi-totalité des syndicats des entreprises touchées par la réforme des régimes spéciaux de retraite appellent à participer à la grève le 14 novembre, même si certains sont ballottés entre les ultimes propositions du gouvernement et sa détermination à ne rien céder sur le fond.
Les syndicats autonomes (Unsa) de la RATP, ainsi que la CFDT et la CFE-CGC de l'énergie (EDF-GDF), ont annoncé jeudi qu'ils appelaient à la grève le 14 novembre contre la réforme des régimes spéciaux de retraite.
L'Unsa, deuxième syndicat de la RATP (21,12%) a déposé un "préavis de grève illimité à partir du mercredi" 14 novembre, sur le réseau Bus, Métro et RER, a indiqué un de ses porte-parole jeudi à l'AFP.
La présidente de la SNCF, Anne-Marie Idrac, met en garde ses employés sur les incertitudes d'une grève reconductible: «aventure inconnue et dangereuse», qui «pénaliserait nos clients». «Ne prenons pas le risque de créer un divorce avec les Français».
L'Unsa-Energie et Sud-Energie, non reconnus représentatifs, appellent pour leur part à une grève reconductible, avec action sur l'outil de travail.
Malgré la perspective des élections professionnelles du 29 novembre, les cinq fédérations de l'Energie veulent afficher leur unité, dans l'espoir d'atteindre une mobilisation au moins aussi importante que lors du précédent mouvement de grève, le 18 octobre, qui avait mobilisé 51,9% des salariés à EDF et 53,3% à GDF.