En Grèce, le référendum divise la population et les politiques
Mgr Anthimos, évêque de Thessalonique, a ainsi déclaré dans un sermon : « Votez comme vous voulez, c’est votre droit absolu, mais j’ai aussi le droit de faire une confession : je voterai pour l’Europe ». Une partie des fidèles ont applaudi, mais d’autres ont scandé « Non ! Non ! », forçant l’évêque à interrompre son homélie. De son côté, l’archevêque d’Athènes Ieronymos, primat de l’Église grecque, s’est gardé de prendre position, délivrant un message défendant les immigrés, par la voix du prédicateur choisi pour célébrer un office en plein air, à l’aréopage, où l’apôtre Paul prêcha. (la-croix.com)
Blocages et tensions à l'approche du référendum grec
La France et le président de l'Eurogroupe Jeroen Dijsselbloem estimaient jeudi qu'un accord pour sauver la Grèce de la faillite était possible si les électeurs se prononçaient en faveur du "oui" dimanche. Pour Jeroen Dijsselbloem, une victoire du "non" placerait la Grèce mais aussi l'Europe "dans une position très difficile". "L'avenir de la Grèce est entre les mains du peuple grec", a-t-il dit à la presse au parlement néerlandais. "Si l'issue est positive, il y aura évidemment, du côté européen, une volonté d'aider la Grèce à s'en sortir", a-t-il dit. "Si le résultat est négatif, l'avenir sera considérablement plus compliqué". (Reuters)
Référendum en Grèce: le gouvernement «pourrait démissionner» si le oui l'emporte
Tsipras garantit l'unité du pays. Le Premier ministre grec, Alexis Tsipras, déclare qu'«au lendemain du référendum, nous serons tous unis» pour essayer de surmonter «la difficulté temporaire» que le pays traverse. Il en appelle à l'«unité nationale». La mise en garde de François Hollande. Evoquant l'issue du référendum, le président français de la République, François Hollande, affirme que «si c'est le oui, la négociation peut très facilement s'engager. Si c'est le non, on rentre dans une forme d'inconnu. C'est aux Grecs de répondre». (leparisien.fr)
Mgr Anthimos, évêque de Thessalonique, a ainsi déclaré dans un sermon : « Votez comme vous voulez, c’est votre droit absolu, mais j’ai aussi le droit de faire une confession : je voterai pour l’Europe ». Une partie des fidèles ont applaudi, mais d’autres ont scandé « Non ! Non ! », forçant l’évêque à interrompre son homélie. De son côté, l’archevêque d’Athènes Ieronymos, primat de l’Église grecque, s’est gardé de prendre position, délivrant un message défendant les immigrés, par la voix du prédicateur choisi pour célébrer un office en plein air, à l’aréopage, où l’apôtre Paul prêcha. (la-croix.com)
Blocages et tensions à l'approche du référendum grec
La France et le président de l'Eurogroupe Jeroen Dijsselbloem estimaient jeudi qu'un accord pour sauver la Grèce de la faillite était possible si les électeurs se prononçaient en faveur du "oui" dimanche. Pour Jeroen Dijsselbloem, une victoire du "non" placerait la Grèce mais aussi l'Europe "dans une position très difficile". "L'avenir de la Grèce est entre les mains du peuple grec", a-t-il dit à la presse au parlement néerlandais. "Si l'issue est positive, il y aura évidemment, du côté européen, une volonté d'aider la Grèce à s'en sortir", a-t-il dit. "Si le résultat est négatif, l'avenir sera considérablement plus compliqué". (Reuters)
Référendum en Grèce: le gouvernement «pourrait démissionner» si le oui l'emporte
Tsipras garantit l'unité du pays. Le Premier ministre grec, Alexis Tsipras, déclare qu'«au lendemain du référendum, nous serons tous unis» pour essayer de surmonter «la difficulté temporaire» que le pays traverse. Il en appelle à l'«unité nationale». La mise en garde de François Hollande. Evoquant l'issue du référendum, le président français de la République, François Hollande, affirme que «si c'est le oui, la négociation peut très facilement s'engager. Si c'est le non, on rentre dans une forme d'inconnu. C'est aux Grecs de répondre». (leparisien.fr)