Etienne Lavigne, patron de l'épreuve et son équipe sont arrivés dans la soirée à Nouakchott. Il n'a toutefois pas souhaité faire davantage de commentaires dans l'immédiat.
Pendant leur séjour les organisateurs doivent rencontrer les autorités mauritaniennes et les services de l'ambassade de France, "afin d'évaluer avec eux la situation et s'assurer que tous les éléments sont réunis pour que le pays accueille le Dakar 2008 dans les meilleures conditions de sécurité", ont-ils indiqué cette semaine dans un communiqué.
Une attaque a visé mercredi soir un véhicule de la garnison militaire de El-Ghallawiya (700 km au nord-est de Nouakchott), tuant ses trois occupants, a annoncé jeudi une source sécuritaire.
Aucune information n'était encore disponible jeudi soir sur les auteurs de l'attaque, qui pourraient appartenir au Groupe salafiste pour la prédication et le combat (GSPC) algérien, groupe très actif dans le désert qui s'étend entre l'Algérie, la Mauritanie et le Mali.
Le GSPC, rebaptisé Branche d'Al-Qaïda au Maghreb islamique (BAQMI), est fortement soupçonné d'avoir commandité une autre attaque ayant fait quatre morts et un blessé parmi des touristes français le 24 décembre à Aleg, dans le sud-est mauritanien.
Les trois assaillants, dont deux sont officiellement identifiés comme des salafistes proches d'Al-Qaïda, étaient toujours en fuite jeudi soir.
Ces deux agressions pourraient remettre en question l'organisation du rallye-raid Dakar-2008. En 2007, des menaces du GSPC avaient déjà conduit les organisateurs à annuler deux étapes entre Néma et Tombouctou (Mali).
Les concurrents du rallye Dakar-2008 s'élanceront le 5 janvier de Lisbonne. Ils doivent en principe rester en Mauritanie entre le 11 et le 19 janvier, le temps de disputer huit étapes et de bénéficier d'une journée de repos.
L'arrivée à Dakar est programmée le 20 janvier.
Edicom.ch
Pendant leur séjour les organisateurs doivent rencontrer les autorités mauritaniennes et les services de l'ambassade de France, "afin d'évaluer avec eux la situation et s'assurer que tous les éléments sont réunis pour que le pays accueille le Dakar 2008 dans les meilleures conditions de sécurité", ont-ils indiqué cette semaine dans un communiqué.
Une attaque a visé mercredi soir un véhicule de la garnison militaire de El-Ghallawiya (700 km au nord-est de Nouakchott), tuant ses trois occupants, a annoncé jeudi une source sécuritaire.
Aucune information n'était encore disponible jeudi soir sur les auteurs de l'attaque, qui pourraient appartenir au Groupe salafiste pour la prédication et le combat (GSPC) algérien, groupe très actif dans le désert qui s'étend entre l'Algérie, la Mauritanie et le Mali.
Le GSPC, rebaptisé Branche d'Al-Qaïda au Maghreb islamique (BAQMI), est fortement soupçonné d'avoir commandité une autre attaque ayant fait quatre morts et un blessé parmi des touristes français le 24 décembre à Aleg, dans le sud-est mauritanien.
Les trois assaillants, dont deux sont officiellement identifiés comme des salafistes proches d'Al-Qaïda, étaient toujours en fuite jeudi soir.
Ces deux agressions pourraient remettre en question l'organisation du rallye-raid Dakar-2008. En 2007, des menaces du GSPC avaient déjà conduit les organisateurs à annuler deux étapes entre Néma et Tombouctou (Mali).
Les concurrents du rallye Dakar-2008 s'élanceront le 5 janvier de Lisbonne. Ils doivent en principe rester en Mauritanie entre le 11 et le 19 janvier, le temps de disputer huit étapes et de bénéficier d'une journée de repos.
L'arrivée à Dakar est programmée le 20 janvier.
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