Trois des six personnes retenues ont été libérées, une toutes les vingt minutes, autour de 10h00, a dit à Reuters Sébastien Bailly, numéro deux du syndicat policier Alliance en Seine-Saint-Denis.
Le Raid, unité d'élite de la police nationale en charge de ces situations, est arrivé sur place peu après 10h00 et négocie au téléphone avec les preneurs d'otages, a-t-il ajouté.
Après avoir annoncé qu'il y avait trois preneurs d'otages, la police n'en est plus sûre. Elle estime désormais qu'ils ne sont peut-être que deux.
Les hommes ont été surpris par la police peu avant 08h00 alors qu'ils tentaient de braquer l'établissement, un supermarché Lidl.
Selon Sébastien Bailly, un des braqueurs aurait dit à son ou ses amis qu'il allait "tout prendre sur lui".
Les preneurs d'otages sont armés au moins d'un pistolet automatique de type 9mm et d'une bombe lacrymogène, a précisé le policier.
"Il semble que ça ne se passe pas trop mal pour les otages à l'intérieur. Les quatre issues sont bloquées par les hommes du Raid.", a-t-il dit.
Les négociations pourraient durer toute la journée, selon Sébastien Bailly : "C'est un grand magasin, donc pour une intervention, ce n'est pas forcément facile."
Source: Reuters via Yahoo News
Le Raid, unité d'élite de la police nationale en charge de ces situations, est arrivé sur place peu après 10h00 et négocie au téléphone avec les preneurs d'otages, a-t-il ajouté.
Après avoir annoncé qu'il y avait trois preneurs d'otages, la police n'en est plus sûre. Elle estime désormais qu'ils ne sont peut-être que deux.
Les hommes ont été surpris par la police peu avant 08h00 alors qu'ils tentaient de braquer l'établissement, un supermarché Lidl.
Selon Sébastien Bailly, un des braqueurs aurait dit à son ou ses amis qu'il allait "tout prendre sur lui".
Les preneurs d'otages sont armés au moins d'un pistolet automatique de type 9mm et d'une bombe lacrymogène, a précisé le policier.
"Il semble que ça ne se passe pas trop mal pour les otages à l'intérieur. Les quatre issues sont bloquées par les hommes du Raid.", a-t-il dit.
Les négociations pourraient durer toute la journée, selon Sébastien Bailly : "C'est un grand magasin, donc pour une intervention, ce n'est pas forcément facile."
Source: Reuters via Yahoo News