Je crois que nous pouvons agir avec des Etats animés de valeurs et de principes qui nous sont chers et exercer d'énormes pressions diplomatiques, commerciales et financières", a déclaré à la chaîne de télévision MSNBC le sénateur de l'Arizona, que beaucoup considèrent comme un faucon.
Si jamais il optait pour la solution militaire, McCain a reconnu qu'il devrait trouver "un argument beaucoup plus convaincant" que celui des armes de destruction massive avancé par George Bush pour justifier le recours à la force contre l'Irak. Aucune trace n'en a jamais été découverte.
"Il y a un petit déficit de crédibilité", a-t-il souligné.
L'Iran s'est imposé comme l'un de thèmes majeurs de la campagne présidentielle. Hillary Clinton et Barack Obama, candidats à l'investiture démocrate, accusent l'administration Bush d'avoir fait le jeu de Téhéran en intervenant militairement en Irak.
La première a jugé mardi la politique de l'actuel locataire de la Maison blanche à l'égard de la République islamique vouée à l'échec et s'est prononcée pour l'ouverture de négociations à un niveau subalterne.
L'ex-first Lady, qui s'exprimait devant des patrons de presse, s'est ainsi positionnée entre l'approche agressive de George Bush et l'appel au dialogue direct avec le président iranien Mahmoud Ahmadinejad de son rival démocrate. "J'ai plaidé pour la carotte et le bâton", a-t-elle résumé.
Source: yahoo news
Si jamais il optait pour la solution militaire, McCain a reconnu qu'il devrait trouver "un argument beaucoup plus convaincant" que celui des armes de destruction massive avancé par George Bush pour justifier le recours à la force contre l'Irak. Aucune trace n'en a jamais été découverte.
"Il y a un petit déficit de crédibilité", a-t-il souligné.
L'Iran s'est imposé comme l'un de thèmes majeurs de la campagne présidentielle. Hillary Clinton et Barack Obama, candidats à l'investiture démocrate, accusent l'administration Bush d'avoir fait le jeu de Téhéran en intervenant militairement en Irak.
La première a jugé mardi la politique de l'actuel locataire de la Maison blanche à l'égard de la République islamique vouée à l'échec et s'est prononcée pour l'ouverture de négociations à un niveau subalterne.
L'ex-first Lady, qui s'exprimait devant des patrons de presse, s'est ainsi positionnée entre l'approche agressive de George Bush et l'appel au dialogue direct avec le président iranien Mahmoud Ahmadinejad de son rival démocrate. "J'ai plaidé pour la carotte et le bâton", a-t-elle résumé.
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