Au cours d'une conférence de presse, Rajoelina a déclaré que les médiateurs des Nations unies proposent qu'"aucune des personnalités politiques malgaches qui ont exercé la fonction de chef de l'Etat ne devrait se présenter à ce scrutin présidentiel organisé par un gouvernement de transition".
"J'ai dit que j'accepte cet accord si tous les anciens chefs d'Etat sont prêts à le respecter. Je veux montrer au monde entier que Andry Rajoelina ne s'accroche pas à un siège, que Andry Rajoelina n'est pas assoiffé de pouvoir et ne cherche pas les honneurs", a souligné Rajoelina.
L'ONU tente par cette proposition d'obtenir un consensus entre l'Arema (parti de l'ancien président Didier Ratsiraka), le CRN (mouvement dirigé par l'ancien président Albert Zafy), le TIM (parti fondé par l'ancien président Marc Ravalomanana) et la mouvance pro-HAT (Haute autorité de la transition).
Mais, a ajouté Rajoelina "cette disposition ne fait pas l'unanimité. Des anciens chefs d'Etat ne sont pas d'accord": "Et aucune décision ne peut être prise si tout le monde n'est pas d'accord. Dans tous les cas, moi, je suis toujours du côté du peuple, je suis toujours prêt à défendre la démocratie. Cette crise n'a que trop duré. Il est temps que chacun fasse des concessions. J'invite tout un chacun à prendre des décisions très vite, à penser à l'intérêt général", a encore dit Rajoelina.
Mercredi, le Quai d'Orsay avait souligné que les autorités françaises attendaient confirmation de la décision annoncée par le président de la Haute autorité de transition malgache, Andry Rajoelina, de ne pas se présenter à la prochaine élection présidentielle.
"Nous attendons qu'il confirme publiquement cet engagement, qui nous paraît de nature à faciliter les négociations politiques en cours entre Malgaches en vue de la finalisation rapide d'un accord politique consensuel et le plus inclusif possible", avait déclaré un porte-parole du ministère français des Affaires étrangères.
La date du scrutin présidentiel reste incertaine, le nouveau régime malgache ayant refusé d'organiser cette consultation avant la fin de l'année, comme le demandaient les chancelleries occidentales, l'Union africaine et la Communauté de développement de l'Afrique australe.
Source: Associated Presse via Yahoo News
"J'ai dit que j'accepte cet accord si tous les anciens chefs d'Etat sont prêts à le respecter. Je veux montrer au monde entier que Andry Rajoelina ne s'accroche pas à un siège, que Andry Rajoelina n'est pas assoiffé de pouvoir et ne cherche pas les honneurs", a souligné Rajoelina.
L'ONU tente par cette proposition d'obtenir un consensus entre l'Arema (parti de l'ancien président Didier Ratsiraka), le CRN (mouvement dirigé par l'ancien président Albert Zafy), le TIM (parti fondé par l'ancien président Marc Ravalomanana) et la mouvance pro-HAT (Haute autorité de la transition).
Mais, a ajouté Rajoelina "cette disposition ne fait pas l'unanimité. Des anciens chefs d'Etat ne sont pas d'accord": "Et aucune décision ne peut être prise si tout le monde n'est pas d'accord. Dans tous les cas, moi, je suis toujours du côté du peuple, je suis toujours prêt à défendre la démocratie. Cette crise n'a que trop duré. Il est temps que chacun fasse des concessions. J'invite tout un chacun à prendre des décisions très vite, à penser à l'intérêt général", a encore dit Rajoelina.
Mercredi, le Quai d'Orsay avait souligné que les autorités françaises attendaient confirmation de la décision annoncée par le président de la Haute autorité de transition malgache, Andry Rajoelina, de ne pas se présenter à la prochaine élection présidentielle.
"Nous attendons qu'il confirme publiquement cet engagement, qui nous paraît de nature à faciliter les négociations politiques en cours entre Malgaches en vue de la finalisation rapide d'un accord politique consensuel et le plus inclusif possible", avait déclaré un porte-parole du ministère français des Affaires étrangères.
La date du scrutin présidentiel reste incertaine, le nouveau régime malgache ayant refusé d'organiser cette consultation avant la fin de l'année, comme le demandaient les chancelleries occidentales, l'Union africaine et la Communauté de développement de l'Afrique australe.
Source: Associated Presse via Yahoo News