"Nous ne savons pas exactement combien ils demandent. Leur première exigence était 70.000 dollars, puis c'est parfois 35.000 dollars", a-t-il ajouté.
Laurent a précisé que Gwen Le Gouil travaillait sur un sujet pour le compte de la chaîne Arte.
Le syndicat national des journalistes somaliens (Nusoj) a confirmé qu'il enquêtait sur le trafic de migrants africains vers l'Arabie saoudite, via le Yémen.
"Nous dénonçons l'enlèvement de (...) Le Gouil et nous exigeons sa libération immédiate et sans conditions", a déclaré Omar Farouk Osman, secrétaire général du Nusoj, dans un communiqué.
Dimanche soir, a-t-il ajouté, les ravisseurs ont tiré sur des soldats du Puntland, la région semi-autonome où s'est déroulé l'enlèvement, qui tentaient de libérer Le Gouil.
Osman a exhorté les autorités du Puntland à "oeuvrer à une libération pacifique (...) et ne pas recourir à la force qui pourrait mettre en péril la vie de Gwen Le Gouil".
Selon le témoignage du chauffeur du journaliste, l'enlèvement s'est produit à environ 70 km à l'est de Bosasso, principale ville du Puntland, situé sur le littoral, et le commando était composé de trois hommes armés de fusils automatiques AK-47.
Réputée pour sa stabilité relative dans un pays en pleine dérive anarchique, la région semi-autonome du Puntland connaît de plus en plus d'enlèvements, de détournements et d'actes de piraterie au large de ses côtes.
"Si pendant des années", a souligné RSF, "le Puntland (...) a bénéficié d'une relative tranquillité, il n'en est plus rien depuis que la guerre fait rage entre les tribunaux islamistes et les troupes éthiopiennes venues soutenir le gouvernement fédéral de transition somalien."
En mai, deux humanitaires étrangers avaient été pris en otages, puis libérés à la suite de pourparlers entre leurs ravisseurs et des chefs de clans.
Cinq mois plus tard, un commando interceptait un avion-cargo transportant du "khat", plante euphorisante des hauts plateaux éthiopiens très prisée en Somalie et dans la péninsule arabique.
Source: http://fr.news.yahoo.com
Laurent a précisé que Gwen Le Gouil travaillait sur un sujet pour le compte de la chaîne Arte.
Le syndicat national des journalistes somaliens (Nusoj) a confirmé qu'il enquêtait sur le trafic de migrants africains vers l'Arabie saoudite, via le Yémen.
"Nous dénonçons l'enlèvement de (...) Le Gouil et nous exigeons sa libération immédiate et sans conditions", a déclaré Omar Farouk Osman, secrétaire général du Nusoj, dans un communiqué.
Dimanche soir, a-t-il ajouté, les ravisseurs ont tiré sur des soldats du Puntland, la région semi-autonome où s'est déroulé l'enlèvement, qui tentaient de libérer Le Gouil.
Osman a exhorté les autorités du Puntland à "oeuvrer à une libération pacifique (...) et ne pas recourir à la force qui pourrait mettre en péril la vie de Gwen Le Gouil".
Selon le témoignage du chauffeur du journaliste, l'enlèvement s'est produit à environ 70 km à l'est de Bosasso, principale ville du Puntland, situé sur le littoral, et le commando était composé de trois hommes armés de fusils automatiques AK-47.
Réputée pour sa stabilité relative dans un pays en pleine dérive anarchique, la région semi-autonome du Puntland connaît de plus en plus d'enlèvements, de détournements et d'actes de piraterie au large de ses côtes.
"Si pendant des années", a souligné RSF, "le Puntland (...) a bénéficié d'une relative tranquillité, il n'en est plus rien depuis que la guerre fait rage entre les tribunaux islamistes et les troupes éthiopiennes venues soutenir le gouvernement fédéral de transition somalien."
En mai, deux humanitaires étrangers avaient été pris en otages, puis libérés à la suite de pourparlers entre leurs ravisseurs et des chefs de clans.
Cinq mois plus tard, un commando interceptait un avion-cargo transportant du "khat", plante euphorisante des hauts plateaux éthiopiens très prisée en Somalie et dans la péninsule arabique.
Source: http://fr.news.yahoo.com