"Aujourd'hui, le gouvernement n'a pas regardé la réalité en face. Il minimise la crise, il minimise ses responsabilités. Il porte le regard ailleurs, sur l'Union européenne, sur le monde. Au fond c'est un énorme aveu d'impuissance", a estimé l'ancien ministre de l'Economie et des Finances M. Sapin
Alors que le premier secrétaire du PS François Hollande a plaidé pour un plan de relance, M. Sapin préfère parler d'"un soutien ciblé au pouvoir d'achat", en particulier celui "des Français qui sont le plus dans le besoin". "Je n'aime pas trop le terme de plan de relance qui donne le sentiment que l'on dépense de l'argent à tout va. Le terme de plan de relance ne me paraît pas être le bon", a expliqué le député de l'Indre.
M. Sapin a préconisé notamment une hausse de l'allocation de rentrée scolaire et l'instauration du chèque transport.
Selon lui, il faut "revenir sur une grande partie des dépenses inconsidérées, injustes et inutiles" du paquet fiscal.
"Ce paquet fiscal, nous y revenons à chaque fois parce que c'est une erreur grave", "ça n'a servi à rien et ça a coûté très cher", a insisté le secrétaire national à l'économie du PS.
Source: Yahoo News
Alors que le premier secrétaire du PS François Hollande a plaidé pour un plan de relance, M. Sapin préfère parler d'"un soutien ciblé au pouvoir d'achat", en particulier celui "des Français qui sont le plus dans le besoin". "Je n'aime pas trop le terme de plan de relance qui donne le sentiment que l'on dépense de l'argent à tout va. Le terme de plan de relance ne me paraît pas être le bon", a expliqué le député de l'Indre.
M. Sapin a préconisé notamment une hausse de l'allocation de rentrée scolaire et l'instauration du chèque transport.
Selon lui, il faut "revenir sur une grande partie des dépenses inconsidérées, injustes et inutiles" du paquet fiscal.
"Ce paquet fiscal, nous y revenons à chaque fois parce que c'est une erreur grave", "ça n'a servi à rien et ça a coûté très cher", a insisté le secrétaire national à l'économie du PS.
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