Ce phénomène coûterait plus de 1.500 euros à chaque victime et serait très mal pris en charge par les autorités, ajoute le Credoc.
Le Credoc se base sur une enquête effectuée auprès de 2.000 individus représentatifs de la population française âgée de 15 ans et plus, dont 4,2% ont dit avoir été victimes d'un vol d'identité pendant les 10 dernières années.
Les usurpations d'identité seraient le plus souvent commises pour tromper les banques, obtenir des aides sociales, un permis de conduire ou la nationalité française.
Après une autre étude menée sur internet auprès de 300 victimes, l'organisme a conclu que 10% étaient tombées gravement malades et 13% avaient été assignées en justice. Un cinquième ont dit être sorties traumatisées de l'expérience.
Le Credoc estime que les conséquences du problème sont "largement sous-estimées par les autorités".
L'usurpation d'identité ne constitue pas une infraction en elle-même dans la législation française. Elle peut uniquement être associée à un autre délit, comme le vol.
Le Code pénal punit "le fait de prendre le nom d'un tiers" uniquement si la victime encourt une condamnation pénale du fait des actes commis par l'usurpateur.
Source: Reuters via Yahoo News
Le Credoc se base sur une enquête effectuée auprès de 2.000 individus représentatifs de la population française âgée de 15 ans et plus, dont 4,2% ont dit avoir été victimes d'un vol d'identité pendant les 10 dernières années.
Les usurpations d'identité seraient le plus souvent commises pour tromper les banques, obtenir des aides sociales, un permis de conduire ou la nationalité française.
Après une autre étude menée sur internet auprès de 300 victimes, l'organisme a conclu que 10% étaient tombées gravement malades et 13% avaient été assignées en justice. Un cinquième ont dit être sorties traumatisées de l'expérience.
Le Credoc estime que les conséquences du problème sont "largement sous-estimées par les autorités".
L'usurpation d'identité ne constitue pas une infraction en elle-même dans la législation française. Elle peut uniquement être associée à un autre délit, comme le vol.
Le Code pénal punit "le fait de prendre le nom d'un tiers" uniquement si la victime encourt une condamnation pénale du fait des actes commis par l'usurpateur.
Source: Reuters via Yahoo News