Le nouveau président américain avait fait pression sur le Congrès pour que ce plan soit voté au plus vite, soulignant qu'il était crucial pour éviter une catastrophe.
Dans un discours prononcé mercredi soir à l'occasion des cérémonies de commémoration du 200e anniversaire de la naissance d'Abraham Lincoln, il y a fait indirectement allusion, saluant au passage son illustre prédécesseur, qui était convaincu qu'une nation divisée peut être rassemblée.
Le président et la "First Lady" Michelle Obama participaient à une cérémonie en présence de stars hollywoodiennes pour célébrer la rénovation du Théâtre Ford à Washington, où Abraham Lincoln, qui a aboli l'esclavage aux Etats-Unis, fut assassiné en 1865.
"Malgré tout ce qui nous divise, Nord et Sud, noirs et blancs, il avait la conviction inébranlable que nous sommes, dans nos coeurs, une nation et un peuple", a déclaré Barack Obama. "Et c'est grâce à Abraham Lincoln et à tous ceux qui ont poursuivi son travail dans les générations suivantes que nous sommes ce que nous sommes aujourd'hui."
Plus tôt dans la journée, il avait remercié "les démocrates et les républicains au Congrès, qui se sont rassemblés autour d'un compromis acquis de haute lutte, destiné à préserver ou créer plus de 3,5 millions d'emplois".
Barack Obama a précisé que les aides en matière d'impôts et les investissements dans les domaines des services médicaux, de l'énergie, de l'éducation et des projets de construction alimenteraient l'économie.
Ce projet de loi, au coeur du programme de relance de Barack Obama, comprend également une aide pour les victimes de la récession, sous forme notamment d'allocations chômage revalorisées.
En annonçant l'accord mercredi, le chef de la majorité au Sénat, Harry Reid, a souligné que les discussions marathon entamées mardi avaient abouti à la conclusion d'un compromis entre les différentes versions du texte, adoptées auparavant par le Sénat et la Chambre des représentants, qui étaient plus coûteuses. Des responsables de la Maison Blanche ont aussi participé aux pourparlers.
Lors d'une conférence de presse à Washington, M. Reid a affirmé que le projet de loi devrait permettre de créer 3,5 millions d'emplois, une fois que le président américain l'aura signé et qu'il entrera en vigueur, ce qui pourrait être fait dans les jours qui viennent.
Harry Reid a encore souligné que le compromis trouvé allait permettre de créer "plus d'emplois que le projet de loi initial du Sénat" et coûter "moins que le projet de loi initial de la Chambre des représentants".
Souyrce: Yahoo News
Dans un discours prononcé mercredi soir à l'occasion des cérémonies de commémoration du 200e anniversaire de la naissance d'Abraham Lincoln, il y a fait indirectement allusion, saluant au passage son illustre prédécesseur, qui était convaincu qu'une nation divisée peut être rassemblée.
Le président et la "First Lady" Michelle Obama participaient à une cérémonie en présence de stars hollywoodiennes pour célébrer la rénovation du Théâtre Ford à Washington, où Abraham Lincoln, qui a aboli l'esclavage aux Etats-Unis, fut assassiné en 1865.
"Malgré tout ce qui nous divise, Nord et Sud, noirs et blancs, il avait la conviction inébranlable que nous sommes, dans nos coeurs, une nation et un peuple", a déclaré Barack Obama. "Et c'est grâce à Abraham Lincoln et à tous ceux qui ont poursuivi son travail dans les générations suivantes que nous sommes ce que nous sommes aujourd'hui."
Plus tôt dans la journée, il avait remercié "les démocrates et les républicains au Congrès, qui se sont rassemblés autour d'un compromis acquis de haute lutte, destiné à préserver ou créer plus de 3,5 millions d'emplois".
Barack Obama a précisé que les aides en matière d'impôts et les investissements dans les domaines des services médicaux, de l'énergie, de l'éducation et des projets de construction alimenteraient l'économie.
Ce projet de loi, au coeur du programme de relance de Barack Obama, comprend également une aide pour les victimes de la récession, sous forme notamment d'allocations chômage revalorisées.
En annonçant l'accord mercredi, le chef de la majorité au Sénat, Harry Reid, a souligné que les discussions marathon entamées mardi avaient abouti à la conclusion d'un compromis entre les différentes versions du texte, adoptées auparavant par le Sénat et la Chambre des représentants, qui étaient plus coûteuses. Des responsables de la Maison Blanche ont aussi participé aux pourparlers.
Lors d'une conférence de presse à Washington, M. Reid a affirmé que le projet de loi devrait permettre de créer 3,5 millions d'emplois, une fois que le président américain l'aura signé et qu'il entrera en vigueur, ce qui pourrait être fait dans les jours qui viennent.
Harry Reid a encore souligné que le compromis trouvé allait permettre de créer "plus d'emplois que le projet de loi initial du Sénat" et coûter "moins que le projet de loi initial de la Chambre des représentants".
Souyrce: Yahoo News