M. Obama a adressé un coup de semonce à ses opposants qui, de plus en plus nombreux, critiquent son plan de plus de 900 milliards de dollars pour les dépenses qu'ils jugent inutiles et le manque de réductions fiscales, ralentissant l'adoption d'un projet de loi dont le nouveau président a fait sa priorité.
"Ces deux derniers jours, j'ai entendu des critiques sur ce plan, qui font précisément écho aux théories qui nous ont menés tout droit à cette crise", a déclaré M. Obama, avant de promulguer une loi sur l'élargissement de la couverture maladie des enfants.
Il a pris pour cible la "notion selon laquelle les réductions d'impôts vont résoudre tous nos problèmes" et mis en garde contre l'idée selon laquelle la crise économique pourrait être résolue avec "la moitié des dispositions, des morceaux de mesures et des petites retouches dans les coins".
M. Obama a également fustigé, sans les nommer, des républicains qui croient selon lui que l'"on peut ignorer des défis fondamentaux, comme le coût élevé de l'assurance maladie, et s'attendre encore à ce que notre pays et notre économie prospèrent".
"Je rejette ces théories, c'est d'ailleurs aussi l'avis des Américains qui se sont rendus aux urnes en novembre et ont voté de manière retentissante pour le changement", a encore lancé le nouveau président, sur le ton le plus partisan qu'il ait adopté depuis son investiture il y a deux semaines.
Des républicains de la Chambre des représentants, qui ont voté "non" au plan de relance la semaine dernière, se sont joints aux sénateurs du même parti mercredi pour exiger une refonte du plan, examiné depuis lundi au Sénat.
Source: Yahoo News
"Ces deux derniers jours, j'ai entendu des critiques sur ce plan, qui font précisément écho aux théories qui nous ont menés tout droit à cette crise", a déclaré M. Obama, avant de promulguer une loi sur l'élargissement de la couverture maladie des enfants.
Il a pris pour cible la "notion selon laquelle les réductions d'impôts vont résoudre tous nos problèmes" et mis en garde contre l'idée selon laquelle la crise économique pourrait être résolue avec "la moitié des dispositions, des morceaux de mesures et des petites retouches dans les coins".
M. Obama a également fustigé, sans les nommer, des républicains qui croient selon lui que l'"on peut ignorer des défis fondamentaux, comme le coût élevé de l'assurance maladie, et s'attendre encore à ce que notre pays et notre économie prospèrent".
"Je rejette ces théories, c'est d'ailleurs aussi l'avis des Américains qui se sont rendus aux urnes en novembre et ont voté de manière retentissante pour le changement", a encore lancé le nouveau président, sur le ton le plus partisan qu'il ait adopté depuis son investiture il y a deux semaines.
Des républicains de la Chambre des représentants, qui ont voté "non" au plan de relance la semaine dernière, se sont joints aux sénateurs du même parti mercredi pour exiger une refonte du plan, examiné depuis lundi au Sénat.
Source: Yahoo News