Mme Kosciusko-Morizet, qui vient de succéder à Eric Besson à ce secrétariat d'État, estime qu'il faudrait se pencher davantage sur leur usage avant de développer de nouvelles technologies, car "en matière de numérique, la vraie innovation se situe dans le modèle économique plus que dans la technologie".
Elle préconise "l'accélération de projets déjà prêts" plutôt que "des investissements qui s'étaleraient sur le moyen et le long terme".
"Le rôle premier des pouvoirs publics est de créer les conditions favorables à l'investissement privé", déclare la secrétaire d'État. "Il y a quelque chose à faire dans le triangle réseaux-innovation-contenus. Il faut faciliter la création des réseaux, mais ces derniers ne sont rentables que s'il y a des usages. Je suis convaincue que c'est dans les contenus que la valeur se situera dans les dix prochaines années. Les réseaux vont devenir une commodité."
L'État peut stimuler les usages du numérique par le télétravail par exemple, et en développant "l'administration en ligne, notamment au travers de l'authentification sur Internet", suggère-t-elle, ajoutant qu'elle entend présenter "d'ici à quelques mois, une carte d'identité électronique qui permettra une signature électronique".
L'ancienne secrétaire d'État chargée de l'Écologie se dit par ailleurs "convaincue de la convergence entre les technologies propres et le numérique". "C'est au frottement entre les 'green tech' ("technologies vertes", NDLR) et le numérique que vont émerger les technologies de rupture et de demain", poursuit-elle, "j'en suis convaincue, notamment dans les outils de gestion intelligente de l'énergie".
Source: AP via Yahoo News
Elle préconise "l'accélération de projets déjà prêts" plutôt que "des investissements qui s'étaleraient sur le moyen et le long terme".
"Le rôle premier des pouvoirs publics est de créer les conditions favorables à l'investissement privé", déclare la secrétaire d'État. "Il y a quelque chose à faire dans le triangle réseaux-innovation-contenus. Il faut faciliter la création des réseaux, mais ces derniers ne sont rentables que s'il y a des usages. Je suis convaincue que c'est dans les contenus que la valeur se situera dans les dix prochaines années. Les réseaux vont devenir une commodité."
L'État peut stimuler les usages du numérique par le télétravail par exemple, et en développant "l'administration en ligne, notamment au travers de l'authentification sur Internet", suggère-t-elle, ajoutant qu'elle entend présenter "d'ici à quelques mois, une carte d'identité électronique qui permettra une signature électronique".
L'ancienne secrétaire d'État chargée de l'Écologie se dit par ailleurs "convaincue de la convergence entre les technologies propres et le numérique". "C'est au frottement entre les 'green tech' ("technologies vertes", NDLR) et le numérique que vont émerger les technologies de rupture et de demain", poursuit-elle, "j'en suis convaincue, notamment dans les outils de gestion intelligente de l'énergie".
Source: AP via Yahoo News