Alors que 76% des français redoutent la présence de pesticides dans leurs aliments, plus de 50% des fruits, légumes et céréales consommés en France contiennent des résidus de pesticides. 7% des échantillons dépassant même les Limites Maximales autorisées.
Pourtant, plus que jamais les médecins nutritionnistes conseillent de consommer des fruits et légumes frais, au moins 5 par jour, notamment pour lutter contre les risques de cancer. Le paradoxe c'est que certains fruits et légumes concentrent des résidus de pesticides dont certains sont cancérigènes, mais pas seulement.
Malformations congénitales, problèmes d’infertilité, problèmes neurologiques ou encore système immunitaire affaibli, la liste est longue des conséquences sur notre organisme d’une ingestion quotidienne d’aliments chargés en résidus sur plusieurs dizaines d'années.
Le lobby des industriels des pesticides, s’appuyant sur le respect de la LMR (les Limites Maximales en Résidus : limites officielles à ne pas dépasser), affirme bien entendu le contraire.
Alors que faire ? Que manger ?
Peut-être s’alimenter moins mais mieux en privilégiant les aliments provenant de l’agriculture biologique.
Une étude récente conduite sur des enfants a montré qu’en 5 jours d'alimentation biologique les traces de résidus d'insecticides avaient disparu de leurs urines !
Mais "manger tout bio" n’est pas toujours simple pour des raisons évidentes de budget. Les aliments biologiques ont un surcoût, ce qui est compréhensible vu le mode de production. Une fois encore, les personnes avec de faibles revenus ne peuvent pas se permettre de « bien manger », condamnées à continuer d’ingérer des substances indésirables.
Une question sur laquelle nos politiques feraient bien de se pencher car il en va de l’état de santé général de leurs concitoyens et peut être futurs électeurs !
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Pourtant, plus que jamais les médecins nutritionnistes conseillent de consommer des fruits et légumes frais, au moins 5 par jour, notamment pour lutter contre les risques de cancer. Le paradoxe c'est que certains fruits et légumes concentrent des résidus de pesticides dont certains sont cancérigènes, mais pas seulement.
Malformations congénitales, problèmes d’infertilité, problèmes neurologiques ou encore système immunitaire affaibli, la liste est longue des conséquences sur notre organisme d’une ingestion quotidienne d’aliments chargés en résidus sur plusieurs dizaines d'années.
Le lobby des industriels des pesticides, s’appuyant sur le respect de la LMR (les Limites Maximales en Résidus : limites officielles à ne pas dépasser), affirme bien entendu le contraire.
Alors que faire ? Que manger ?
Peut-être s’alimenter moins mais mieux en privilégiant les aliments provenant de l’agriculture biologique.
Une étude récente conduite sur des enfants a montré qu’en 5 jours d'alimentation biologique les traces de résidus d'insecticides avaient disparu de leurs urines !
Mais "manger tout bio" n’est pas toujours simple pour des raisons évidentes de budget. Les aliments biologiques ont un surcoût, ce qui est compréhensible vu le mode de production. Une fois encore, les personnes avec de faibles revenus ne peuvent pas se permettre de « bien manger », condamnées à continuer d’ingérer des substances indésirables.
Une question sur laquelle nos politiques feraient bien de se pencher car il en va de l’état de santé général de leurs concitoyens et peut être futurs électeurs !
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