JérômeKerviel, le trader en garde à vue auquel la Société Générale impute une"fraude" record de 4,9 miiliards d'euros, a clamé son innocencedimanche via ses avocats, qui ont mis en cause la banque alors quel'enquête progresse, selon le parquet, de manière "extrêmementfructueuse". Evénement
Evoquant l'affaire de laSociété générale, Henri Guaino, conseiller du président NicolasSarkozy, a affirmé dimanche qu'il fallait réfléchir à "la manière decorriger les règles" d'un système bancaire "devenu fou", lors du grandjury RTL/Le Figaro/LCI.
"C'est un système de fraude visiblementqui a été découvert par la Société générale", a déclaré sur France 5 leministre délégué au budget Eric Woerth.
"J'imagine qu'on pointedu doigt ce trader d'une façon précise parce que c'est le cas", a-t-ilpoursuivi. "Mais je pense que la Société générale a dû faire le tour dusujet et met en cause l'un de ses employés à juste titre", a dit leministre.
La Société Générale a en outre affirmé dimancheaprès-midi que les positions frauduleuses prises par ce courtier de 31ans atteignaient "environ 50 milliards d'euros" avant que la banque neramène sa perte à 4,9 milliards d'euros.
Les avocats de M.Kerviel ont déclaré par téléphone que leur client n'avait "commisaucune malhonnêteté", accusant la banque de vouloir "élever un écran defumée" pour masquer ses pertes.
La garde à vue du courtier,entamée samedi peu avant 14H00 dans les locaux parisiens de la brigadefinancière, a été prolongée de 24 heures dimanche.
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Evoquant l'affaire de laSociété générale, Henri Guaino, conseiller du président NicolasSarkozy, a affirmé dimanche qu'il fallait réfléchir à "la manière decorriger les règles" d'un système bancaire "devenu fou", lors du grandjury RTL/Le Figaro/LCI.
"C'est un système de fraude visiblementqui a été découvert par la Société générale", a déclaré sur France 5 leministre délégué au budget Eric Woerth.
"J'imagine qu'on pointedu doigt ce trader d'une façon précise parce que c'est le cas", a-t-ilpoursuivi. "Mais je pense que la Société générale a dû faire le tour dusujet et met en cause l'un de ses employés à juste titre", a dit leministre.
La Société Générale a en outre affirmé dimancheaprès-midi que les positions frauduleuses prises par ce courtier de 31ans atteignaient "environ 50 milliards d'euros" avant que la banque neramène sa perte à 4,9 milliards d'euros.
Les avocats de M.Kerviel ont déclaré par téléphone que leur client n'avait "commisaucune malhonnêteté", accusant la banque de vouloir "élever un écran defumée" pour masquer ses pertes.
La garde à vue du courtier,entamée samedi peu avant 14H00 dans les locaux parisiens de la brigadefinancière, a été prolongée de 24 heures dimanche.
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