La Corée du Nord a quitté la table des négociations à six en avril dernier, furieuse de la réaction des Nations unies à son tir d'une fusée à longue portée. Le régime solitaire a depuis conduit une série de tirs d'essai de missiles, le 4 juillet.
Pyongyang est aussi soupçonné d'être à l'origine d'une série de cyber-attaques contre des sites stratégiques aux Etats-Unis et en Corée du Sud.
La Chine cherche à conforter l'idée qu'elle aurait une influence sur le régime nord-coréen. Elle a dépêché pour cela son vice-ministre des affaires étrangères Wu Dawei à Séoul dimanche pour trouver une solution à ce blocage, après des consultations à Moscou, Washington et Tokyo. L'envoyé de Pékin propose d'approcher le problème de manière candide.
La Corée du Sud suggère au contraire par la voie de son président Lee Myung-bak une approche musclée qui contraindrait Pyongyang à revenir négocier sur son commerce de fusées et autres vecteurs nucléaires.
Source: Associated Presse via Yahoo News
Pyongyang est aussi soupçonné d'être à l'origine d'une série de cyber-attaques contre des sites stratégiques aux Etats-Unis et en Corée du Sud.
La Chine cherche à conforter l'idée qu'elle aurait une influence sur le régime nord-coréen. Elle a dépêché pour cela son vice-ministre des affaires étrangères Wu Dawei à Séoul dimanche pour trouver une solution à ce blocage, après des consultations à Moscou, Washington et Tokyo. L'envoyé de Pékin propose d'approcher le problème de manière candide.
La Corée du Sud suggère au contraire par la voie de son président Lee Myung-bak une approche musclée qui contraindrait Pyongyang à revenir négocier sur son commerce de fusées et autres vecteurs nucléaires.
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