Joseph Lewis Clark, 57 ans, condamné à mort à Lucasville dans l’Ohio, a mis près d'une heure et demie pour mourir.
Cet homme était comdamné suite à des attaques à main armée avec meurtres. Son exécution devait être réalisée par injection.
L’injection intraveineuse mortelle doit, selon la procédure, être effectuée par deux voies, une dans chaque bras. Mais cette fois là, l’équipe d’exécution a peiné pendant environ 30 minutes pour trouver une veine. Même le condamné est intervenu pour dire « ça ne marche pas ». Un seul bras a finalement été piqué et pendant les 40 minutes qui ont suivi, le condamné a souffert. Les témoins assistant au supplice derrière une vitre occultée l’ont entendu se plaindre.
Aux Etats Unis, 37 des 38 états fédérés où la peine capitale est en vigueur ont toujours recours aux injections létales sauf le Nebraska qui utilise encore la chaise électrique.
En avril 2005, la revue médicale The Lancet a publié une étude prouvant que la moitié des condamnés à mort exécutés depuis 1977 avaient souffert le martyr ou étaient conscients lors de l’exécution.
Et malgré cela on continue à utiliser la peine capitale pour punir des êtres humains.
Sommes nous vraiment au XXIème siècle ? Ou au siècle de la "barbarie légale" ?
Au moyen âge au moins, quand le bourreau ratait son coup, les condamnés évitaient la peine de mort.
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Cet homme était comdamné suite à des attaques à main armée avec meurtres. Son exécution devait être réalisée par injection.
L’injection intraveineuse mortelle doit, selon la procédure, être effectuée par deux voies, une dans chaque bras. Mais cette fois là, l’équipe d’exécution a peiné pendant environ 30 minutes pour trouver une veine. Même le condamné est intervenu pour dire « ça ne marche pas ». Un seul bras a finalement été piqué et pendant les 40 minutes qui ont suivi, le condamné a souffert. Les témoins assistant au supplice derrière une vitre occultée l’ont entendu se plaindre.
Aux Etats Unis, 37 des 38 états fédérés où la peine capitale est en vigueur ont toujours recours aux injections létales sauf le Nebraska qui utilise encore la chaise électrique.
En avril 2005, la revue médicale The Lancet a publié une étude prouvant que la moitié des condamnés à mort exécutés depuis 1977 avaient souffert le martyr ou étaient conscients lors de l’exécution.
Et malgré cela on continue à utiliser la peine capitale pour punir des êtres humains.
Sommes nous vraiment au XXIème siècle ? Ou au siècle de la "barbarie légale" ?
Au moyen âge au moins, quand le bourreau ratait son coup, les condamnés évitaient la peine de mort.
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