Vers 18h, l'artisan de 40 ans de Tuffé, près du Mans, dans la Sarthe, a été brutalement maîtrisé, chez lui, par une dizaine de gendarmes de l'Indre, interpellé, puis emmené à la gendarmerie.
Pourquoi? Parce que son break vert "est la copie conforme de celui que les gendarmes recherchaient" explique un gendarme de Tuffé.
"Ce n'est pas une erreur" déclare le procureur de Châteauroux Christian Mercuri ce vendredi après-midi, précisant que "pour l'enquête, c'était imparable."
Pascal, choqué, raconte:
"Ils m'ont dit: 'Ouvrez! Sinon on défonce la porte!'
Ils m'ont couché sur le canapé, m'ont mis les menottes dans le dos.
Ma femme me regardait: elle pleurait.
Je m'énervais. Je m'énervais.
Je me demandais ce qu'allaient penser mes enfants, s'ils allaient penser que j'étais un gangster.
Après ils m'ont foutu en prison pendant 1h30.
Je leur ai dit: 'Vous me sortez de là parce que je ne suis pas un voleur.'
C'était des cowboys.
Ça m'a choqué. Ça peut arriver à n'importe qui, c'est pas normal."
"Il a été victime de ce qu'on appelle une 'doublette'" explique un gendarme de Tuffé.
"Dans ce cas, le véhicule de cet homme avait exactement les mêmes caractéristiques et la même plaque d'immatriculation que celui qui était recherché, c'était son clone. Quand une chose ressemble trait pour trait à une autre, on parle de 'doublette'" poursuit le gendarme
Cet info sur le break de Pascal nous arrive d'un témoin d'un cambriolage d'un bar tabac de Châteauroux.
Pascal demande simplement des excuses: on s'est plantés, un point c'est tout" dit-il à Europe 1.
Des excuses, qui, à l'heure actuelle, semblent ne pas avoir été formulées.
Source: Yahoo News
Pourquoi? Parce que son break vert "est la copie conforme de celui que les gendarmes recherchaient" explique un gendarme de Tuffé.
"Ce n'est pas une erreur" déclare le procureur de Châteauroux Christian Mercuri ce vendredi après-midi, précisant que "pour l'enquête, c'était imparable."
Pascal, choqué, raconte:
"Ils m'ont dit: 'Ouvrez! Sinon on défonce la porte!'
Ils m'ont couché sur le canapé, m'ont mis les menottes dans le dos.
Ma femme me regardait: elle pleurait.
Je m'énervais. Je m'énervais.
Je me demandais ce qu'allaient penser mes enfants, s'ils allaient penser que j'étais un gangster.
Après ils m'ont foutu en prison pendant 1h30.
Je leur ai dit: 'Vous me sortez de là parce que je ne suis pas un voleur.'
C'était des cowboys.
Ça m'a choqué. Ça peut arriver à n'importe qui, c'est pas normal."
"Il a été victime de ce qu'on appelle une 'doublette'" explique un gendarme de Tuffé.
"Dans ce cas, le véhicule de cet homme avait exactement les mêmes caractéristiques et la même plaque d'immatriculation que celui qui était recherché, c'était son clone. Quand une chose ressemble trait pour trait à une autre, on parle de 'doublette'" poursuit le gendarme
Cet info sur le break de Pascal nous arrive d'un témoin d'un cambriolage d'un bar tabac de Châteauroux.
Pascal demande simplement des excuses: on s'est plantés, un point c'est tout" dit-il à Europe 1.
Des excuses, qui, à l'heure actuelle, semblent ne pas avoir été formulées.
Source: Yahoo News