Déchéance de la nationalité : Éric Ciotti ne votera pas la réforme constitutionnelle
Un proche de Sarkozy parle d'une "entourloupe". Selon lui, cette mesure de déchéance de nationalité constituait une "mesure de fermeté de la République contre le terrorisme". Il estime que ce "message clair et simple auquel l'immense majorité des Français adhère" permettait d'envoyer un signal indiquant "qu'on n'attaque pas la France impunément". De l'avis d'Éric Ciotti, ce recul de François Hollande "aura des conséquences sur la crédibilité de la parole française". Un proche de Nicolas Sarkozy parle quant à lui "d'entourloupe" du président de la République. (rtl.fr)
Déchéance de la nationalité : Hollande piège Hollande
Le chef de l'État était dans une situation délicate : s'il suivait l'avis sollicité du Conseil d'État, il rompait avec une tradition de gauche. Il a préféré renouer avec son camp, quitte à sacrifier la "concorde nationale" qu'il arbore depuis les attentats en direction des élus de droite. "Il se renie, vitupère Laurent Wauquiez. On voit ici l'inconstance du président et la faillite idéologique d'une gauche enfermée dans ses visions d'extrême tolérance et d'excuses qui ne sont pas à la hauteur des défis du terrorisme. La déchéance de la nationalité était une mesure de bon sens, un minimum." (lepoint.fr)
Un proche de Sarkozy parle d'une "entourloupe". Selon lui, cette mesure de déchéance de nationalité constituait une "mesure de fermeté de la République contre le terrorisme". Il estime que ce "message clair et simple auquel l'immense majorité des Français adhère" permettait d'envoyer un signal indiquant "qu'on n'attaque pas la France impunément". De l'avis d'Éric Ciotti, ce recul de François Hollande "aura des conséquences sur la crédibilité de la parole française". Un proche de Nicolas Sarkozy parle quant à lui "d'entourloupe" du président de la République. (rtl.fr)
Déchéance de la nationalité : Hollande piège Hollande
Le chef de l'État était dans une situation délicate : s'il suivait l'avis sollicité du Conseil d'État, il rompait avec une tradition de gauche. Il a préféré renouer avec son camp, quitte à sacrifier la "concorde nationale" qu'il arbore depuis les attentats en direction des élus de droite. "Il se renie, vitupère Laurent Wauquiez. On voit ici l'inconstance du président et la faillite idéologique d'une gauche enfermée dans ses visions d'extrême tolérance et d'excuses qui ne sont pas à la hauteur des défis du terrorisme. La déchéance de la nationalité était une mesure de bon sens, un minimum." (lepoint.fr)