La mort d'Abou Zeïd, l'un des chefs d'Aqmi, dans le nord du Mali, n'a pas été confirmée par Paris, a déclaré vendredi la porte-parole du gouvernement Najat Vallaud-Belckacem. Le président souligne pour sa part qu'il n'a aucunement confirmé ce type d'information car les "forces françaises et tchadiennes doivent aller jusqu'au bout de l'opération, qui est sans doute dans sa phase ultime." Il ajoute également en marge d'un discours portant sur le dévellopement: "Des groupes terroristes se sont réfugiés, cachés, dans une zone particulièrement difficile. Des informations circulent. Je n'ai pas à les confirmer, parce que nous devons aller jusqu'au bout de l'opération". L'information "n'a pas été recoupée" a confirmé l'entourage du président Hollande.
Des analyses Adn sont en cours qui permettraient de confirmer le décès du terroriste. Abou Zeïd n'etait pas réputé pour opérer hors d'Algérie. C'est cependant bien lui qui avait instauré une charia dure à Gao, ville la plus importante du nord du Mali, où des amputations avaient été pratiquées sur des voleurs, des lapidations sur des couples adultères. Des femmes avaient été jetées dans des cellules séparées de la rue par une grille.
Ayant fui Goa, il s'était réfugié dans le Massif des Ifoghas. Une quarantaine d'hommes de sa brigade a péri également.
Des analyses Adn sont en cours qui permettraient de confirmer le décès du terroriste. Abou Zeïd n'etait pas réputé pour opérer hors d'Algérie. C'est cependant bien lui qui avait instauré une charia dure à Gao, ville la plus importante du nord du Mali, où des amputations avaient été pratiquées sur des voleurs, des lapidations sur des couples adultères. Des femmes avaient été jetées dans des cellules séparées de la rue par une grille.
Ayant fui Goa, il s'était réfugié dans le Massif des Ifoghas. Une quarantaine d'hommes de sa brigade a péri également.