L'indice a gagné 13,5% en avril. Il avait chuté de 45% en 2008. A la Bourse de Paris, l'indice CAC 40 affiche un gain de 1,38% en clôture.
Comme à Wall Street, la cote a tiré parti de résultats de sociétés meilleurs qu'on ne l'espérait. Le menace de voir la grippe porcine se transformer en pandémie n'émeut pas la Bourse outre mesure, qui doute maintenant qu'elle ait un impact économique significatif.
Il n'empêche que l'épidémie profite aux pharmaceutiques. GlaxoSmithKline, Novartis et Sanofi-Aventis prennent de 0,9 à 1,6%.
Les plus gros gains sectoriels sont réalisés par l'assurance et la banque, de 4,56% et 3,96% respectivement.
Barclays, Royal Bank of Scotland, Société Générale et Lloyds gagnent de 7,9 à 13,6%.
"On a le sentiment d'avoir traversé une période de contractions économiques de 6 à 7% et qu'à présent la période verra des contractions à des rythmes moins élevés; on anticipe même dans trois à six mois un début de stagnation, voire mieux", explique Andrew Bell (Rensburg Sheppards).
La plus forte perte en Europe (-8,92%) revient à Ubisoft, l'éditeur de jeux vidéo ayant révisé en baisse son objectif de résultat opérationnel courant 2008-2009.
Source: Yahoo News
Comme à Wall Street, la cote a tiré parti de résultats de sociétés meilleurs qu'on ne l'espérait. Le menace de voir la grippe porcine se transformer en pandémie n'émeut pas la Bourse outre mesure, qui doute maintenant qu'elle ait un impact économique significatif.
Il n'empêche que l'épidémie profite aux pharmaceutiques. GlaxoSmithKline, Novartis et Sanofi-Aventis prennent de 0,9 à 1,6%.
Les plus gros gains sectoriels sont réalisés par l'assurance et la banque, de 4,56% et 3,96% respectivement.
Barclays, Royal Bank of Scotland, Société Générale et Lloyds gagnent de 7,9 à 13,6%.
"On a le sentiment d'avoir traversé une période de contractions économiques de 6 à 7% et qu'à présent la période verra des contractions à des rythmes moins élevés; on anticipe même dans trois à six mois un début de stagnation, voire mieux", explique Andrew Bell (Rensburg Sheppards).
La plus forte perte en Europe (-8,92%) revient à Ubisoft, l'éditeur de jeux vidéo ayant révisé en baisse son objectif de résultat opérationnel courant 2008-2009.
Source: Yahoo News