Un point sur la pandémie en Afrique
La réactivité des certains États face à la propagation de la COVID 19 a été très rapide. En l’occurrence, l’observation des gestes barrières et le port obligatoire du masque. En dépit des analyses de l’OMS, qui expliquait qu’on devrait observer un pic élevé de contamination, on décèle une importante résistance contre toute attente. Cela dit, des cas se détectent sur le continent, mais les chiffres sont assez faibles en comparaison à ceux obtenus en Europe et en Amérique.
Selon les hypothèses, la résistance est plus ou moins centrée sur le fait que la majeure partie de la population africaine est jeune. En effet, la maladie s’attaquerait aux vieilles personnes puisque ceux-ci ne disposent plus dans leur organisme des anticorps nécessaire pour lutter contre la maladie et donc sont plus en proie à la COVID 19. En plus de ce facteur, l’on a connu par le passé des épidémies qui ont développé chez les populations des habitudes de protection pour être le moins exposé à la maladie. De ce fait, on déduit un conditionnement psychologique qui fait office de bouclier sur le continent.
La mutation du virus : Devons-nous être inquiets ?
10 mois passés et déjà la détection d’une nouvelle forme du virus s’observent sur le continent. Entre autres, au Congo et en Afrique du Sud de nouvelles variantes ont été découvertes. Le niveau de virulence est hautement plus élevé et donc les autorités devraient craindre une explosion du nombre de personnes infectées. Néanmoins, beaucoup restent sceptiques sur cet état de chose à cause de l’arrivée dans les jours à venir des vaccins qui à ce qu’il parait a pris en compte ses variantes du virus.