"Dès lors qu'une négociation est ouverte et qu'elle s'engage sur des bases sérieuses, de l'avis même des organisations syndicales, oui, il faut aller vers une reprise du travail et garder une vigilance par rapport au déroulement de ces négociations", a-t-il déclaré à Matignon, où il venait d'être consulté par le Premier ministre François Fillon sur la réforme des institutions.
M. Hollande a critiqué le fait que les négociations n'aient pas débuté "plus tôt". "Il y avait quand même des occasions (...) des préalables ont été inutilement posés", a jugé le patron du PS.
Mais parce que la négociation "s'ouvre", a insisté le premier secrétaire, et "qu'elle va durer longtemps, un mois, il faut qu'il y ait un mouvement de reprise du travail aujourd'hui".
Nicolas Sarkozy sera-t-il sensible à cet appui que spontanément François Hollande et le PS lui apportent? Réponse au prochain gouvernement d'ouverture que nous concoctera le président de la république. Il est imaginable que Nicolas Sarkozy réserve quelques portefeuilles ministériels tournants: six mois pour Kouchner, trois mois pour Hollande, et encore six pour Strauss-Khan, puis un peu aussi pour Fabius. Pourquoi pas?
M. Hollande a critiqué le fait que les négociations n'aient pas débuté "plus tôt". "Il y avait quand même des occasions (...) des préalables ont été inutilement posés", a jugé le patron du PS.
Mais parce que la négociation "s'ouvre", a insisté le premier secrétaire, et "qu'elle va durer longtemps, un mois, il faut qu'il y ait un mouvement de reprise du travail aujourd'hui".
Nicolas Sarkozy sera-t-il sensible à cet appui que spontanément François Hollande et le PS lui apportent? Réponse au prochain gouvernement d'ouverture que nous concoctera le président de la république. Il est imaginable que Nicolas Sarkozy réserve quelques portefeuilles ministériels tournants: six mois pour Kouchner, trois mois pour Hollande, et encore six pour Strauss-Khan, puis un peu aussi pour Fabius. Pourquoi pas?