Le comité de l'ONU fait état de "nombreuses allégations persistantes sur l'utilisation routinière de la torture et d'autres traitements cruels, inhumains ou dégradants commis par les services de sécurité". La torture est pratiquée dans les centres de détention pour obtenir des aveux ou des informations.
Le comité dénonce le refus des autorités d'enquêter sur ces allégations et de poursuivre les responsables en justice. Dans son rapport, il s'inquiète aussi des allégations sur l'usage excessif de la force par les autorités lors des émeutes d'Andijan en mai 2005.
Les experts demandent une nouvelle fois aux autorités d'autoriser une enquête indépendante sur ces événements. Dans un rapport publié le 8 novembre, Human Rights Watch (HRW) a documenté les cas de 32 victimes depuis deux ans.
Le régime politique en Ouzbékistan, qui est dirigé depuis près de 20 ans par le président Islam Karimov, est l'un des plus durs d'Asie centrale. Tachkent est isolé sur la scène internationale depuis la répression sanglante d'une manifestation à Andijan (est) en mai 2005 qui aurait fait, selon les témoins, des centaines de morts.
Le comité dénonce le refus des autorités d'enquêter sur ces allégations et de poursuivre les responsables en justice. Dans son rapport, il s'inquiète aussi des allégations sur l'usage excessif de la force par les autorités lors des émeutes d'Andijan en mai 2005.
Les experts demandent une nouvelle fois aux autorités d'autoriser une enquête indépendante sur ces événements. Dans un rapport publié le 8 novembre, Human Rights Watch (HRW) a documenté les cas de 32 victimes depuis deux ans.
Le régime politique en Ouzbékistan, qui est dirigé depuis près de 20 ans par le président Islam Karimov, est l'un des plus durs d'Asie centrale. Tachkent est isolé sur la scène internationale depuis la répression sanglante d'une manifestation à Andijan (est) en mai 2005 qui aurait fait, selon les témoins, des centaines de morts.