ONUSIDA, l'organisation des Nations unies pour la lutte contre le sida a été créée en 1996, pour faire face à l'épidémie de Sida dans le monde et mettre en commun les efforts dans la lutte contre le VIH/SIDA des différentes agences des Nations Unies.
Au cours d'une interview au magazine Gabonews, Catherine Hankins a, notamment, déclaré:
"L'Afrique subsaharienne reste le continent le plus infecté par l'épidémie du VIH avec près de 26 millions de personnes vivant avec le virus. Il existe des situations très encourageantes avec des baisses d'infections dabs quelques pays tels que le Kenya et le Zimbabwe. Au Kenya par exemple, nous avons observé une baisse du taux d'infections chez les adultes de 10 % en 1990 à 7 % en 2003. De même, au Zimbabwe nous observons des signes de chutes du taux de VIH parmi les femmes enceintes de 26 % en 2003 à 21 % en 2004. Cela signifie tout de même qu'au Zimbabwe un adulte sur cinq vit avec le VIH. Les nouvelles sont donc bonnes, mais elles interviennent dans un contexte qui est encore très touché par le VIH. Dans les zones urbaines du Burina Faso, on voit que la prévalence chez les jeunes femmes est passée de 4 % en 2001 à un peu moins de 2 % en 2003. Il y a donc de bonnes nouvelles et de plus mauvaises."
"Très peu de gens ont accès à des services de préventions. Une personne sur dix sait qu'elle vit avec le VIH. Neuf personnes sur dix ignorent qu'elles sont infectées. Il existe beaucoup de gens qui ne suivent donc pas le traitement alors qu'ils en auraient besoin. Ces personnes vont mourir d'ici deux ans s'elles n'ont pas accès au traitement en Afrique Subsaharienne. Il y a des situations, comme en Afrique du Sud, où dans les années 90 le taux d'infection chez les femmes enceintes était inférieure à 1 %, alors qu'il est aujourd'hui de près de 30 %. En 15 ans ça a augmenté jusqu'à près de 30 %."
Au cours d'une interview au magazine Gabonews, Catherine Hankins a, notamment, déclaré:
"L'Afrique subsaharienne reste le continent le plus infecté par l'épidémie du VIH avec près de 26 millions de personnes vivant avec le virus. Il existe des situations très encourageantes avec des baisses d'infections dabs quelques pays tels que le Kenya et le Zimbabwe. Au Kenya par exemple, nous avons observé une baisse du taux d'infections chez les adultes de 10 % en 1990 à 7 % en 2003. De même, au Zimbabwe nous observons des signes de chutes du taux de VIH parmi les femmes enceintes de 26 % en 2003 à 21 % en 2004. Cela signifie tout de même qu'au Zimbabwe un adulte sur cinq vit avec le VIH. Les nouvelles sont donc bonnes, mais elles interviennent dans un contexte qui est encore très touché par le VIH. Dans les zones urbaines du Burina Faso, on voit que la prévalence chez les jeunes femmes est passée de 4 % en 2001 à un peu moins de 2 % en 2003. Il y a donc de bonnes nouvelles et de plus mauvaises."
"Très peu de gens ont accès à des services de préventions. Une personne sur dix sait qu'elle vit avec le VIH. Neuf personnes sur dix ignorent qu'elles sont infectées. Il existe beaucoup de gens qui ne suivent donc pas le traitement alors qu'ils en auraient besoin. Ces personnes vont mourir d'ici deux ans s'elles n'ont pas accès au traitement en Afrique Subsaharienne. Il y a des situations, comme en Afrique du Sud, où dans les années 90 le taux d'infection chez les femmes enceintes était inférieure à 1 %, alors qu'il est aujourd'hui de près de 30 %. En 15 ans ça a augmenté jusqu'à près de 30 %."