L'affaire des prothèses mammaires prend de l'ampleur
Le gouvernement français a reconnu vendredi le caractère inflammatoire des prothèses mammaires PIP et recommandé aux femmes qui en portent de les faire retirer à titre préventif. Le ministère de la Santé assure que les frais liés au retrait des implants seront pris en charge par l'assurance maladie en France. Mais, sauf nécessité thérapeutique, la pause de prothèses de substitution ne sera remboursée que pour les femmes "relevant d'une chirurgie reconstructrice post cancer du sein". (Reuters)
La France demande à la Turquie le respect de ses convictions
Nicolas Sarkozy a invité vendredi les autorités turques à "respecter" les convictions de la France après la virulente réaction d'Ankara au vote par les députés français d'une proposition de loi pénalisant la négation des génocides. Le Premier ministre turc, Recep Tayyip Erdogan, a accusé la France d'avoir commis un génocide en Algérie dans les années 1940 et 1950. Sa colère s'explique par l'adoption, la veille à l'Assemblée nationale, d'un texte sanctionnant la négation du génocide contre les Arméniens de 1915, que la Turquie ne reconnaît pas comme tel. "En Algérie, à partir de 1945, on estime que 15% de la population algérienne a été massacrée par les Français. C'est un génocide", a déclaré le chef du gouvernement turc à la télévision. (Reuters)
Source: Yahoo actualités
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Le gouvernement français a reconnu vendredi le caractère inflammatoire des prothèses mammaires PIP et recommandé aux femmes qui en portent de les faire retirer à titre préventif. Le ministère de la Santé assure que les frais liés au retrait des implants seront pris en charge par l'assurance maladie en France. Mais, sauf nécessité thérapeutique, la pause de prothèses de substitution ne sera remboursée que pour les femmes "relevant d'une chirurgie reconstructrice post cancer du sein". (Reuters)
La France demande à la Turquie le respect de ses convictions
Nicolas Sarkozy a invité vendredi les autorités turques à "respecter" les convictions de la France après la virulente réaction d'Ankara au vote par les députés français d'une proposition de loi pénalisant la négation des génocides. Le Premier ministre turc, Recep Tayyip Erdogan, a accusé la France d'avoir commis un génocide en Algérie dans les années 1940 et 1950. Sa colère s'explique par l'adoption, la veille à l'Assemblée nationale, d'un texte sanctionnant la négation du génocide contre les Arméniens de 1915, que la Turquie ne reconnaît pas comme tel. "En Algérie, à partir de 1945, on estime que 15% de la population algérienne a été massacrée par les Français. C'est un génocide", a déclaré le chef du gouvernement turc à la télévision. (Reuters)
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