"Repousser ces problèmes pendant quatre ou huit années supplémentaires serait poursuivre la même irresponsabilité qui nous a conduit" dans la grave crise économique actuelle, a déclaré le président américain devant les présidents des commissions budgétaires du Congrès.
Il a affirmé ne pas avoir brigué la Maison Blanche "pour transmettre nos problèmes au prochain président ou à la prochaine génération." M. Obama a également déclaré que de nombreuses actions simultanées étaient nécessaires pour aider l'économie américaine à sortir de la récession.
Barack Obama a une nouvelle fois demandé au Congrès de voter son budget, affirmant qu'il permettra la "transformation" dont le pays a besoin pour rester compétitif. Le budget de 3.600 milliards de dollars proposé par M. Obama pour l'année budgétaire qui commence le 1er octobre prochain prévoit un déficit de 1.750 milliards de dollars (1.350 milliards d'euros).
Devant les présidents des commissions budgétaires du Congrès, le président américain l'a décrit comme un "projet économique pour l'avenir". Les Etats-Unis "ne peuvent revenir à une économie de bulles, une économie fondée sur des dépenses imprudentes et des dépenses au-delà de nos moyens", a-t-il affirmé.
Source: Yahoo News
Il a affirmé ne pas avoir brigué la Maison Blanche "pour transmettre nos problèmes au prochain président ou à la prochaine génération." M. Obama a également déclaré que de nombreuses actions simultanées étaient nécessaires pour aider l'économie américaine à sortir de la récession.
Barack Obama a une nouvelle fois demandé au Congrès de voter son budget, affirmant qu'il permettra la "transformation" dont le pays a besoin pour rester compétitif. Le budget de 3.600 milliards de dollars proposé par M. Obama pour l'année budgétaire qui commence le 1er octobre prochain prévoit un déficit de 1.750 milliards de dollars (1.350 milliards d'euros).
Devant les présidents des commissions budgétaires du Congrès, le président américain l'a décrit comme un "projet économique pour l'avenir". Les Etats-Unis "ne peuvent revenir à une économie de bulles, une économie fondée sur des dépenses imprudentes et des dépenses au-delà de nos moyens", a-t-il affirmé.
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