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29/07/2011 15:21

Obama contre Wall street

Obama contre Wall street - Wall Street encore dans le rouge foncé, déçue par le PIB - Le CAC 40 au plus bas après la publication du PIB américain - Trois scénarios autour de la dette américaine.



Wall Street encore dans le rouge foncé, déçue par le PIB
La mauvaise surprise sur la croissance américaine, la décélération de l'indice de CHicago et la baisse du moral de Américains affectent les marchés. La question de la dette pèse toujours. Les marchés d'actions américains ouvrent de nouveau en baisse ce vendredi, pour la sixième fois de suite. Le Dow Jones descend de 0,87% à 12.134 points; le Standard & Poor's 500 et le Nasdaq 100 reculent respectivement de 1% 1287 points et de 0,96% à 2740 points. Jeudi, Wall Street a enregistré une cinquième séance de baisse consécutive. La mauvaise nouvelle sur le front de la croissance américaine pèse lourd sur la tendance : la croissance économique des États-Unis a très nettement ralenti en 2011, pour s'établir à 1,3% en rythme annuel au deuxième trimestre selon une première estimation publiée vendredi par le gouvernement américain. Ce taux de croissance, inférieur aux attentes des analystes (1,8%), est particulièrement faible compte tenu de la nette révision de celui du premier trimestre, désormais estimé à 0,4% contre 1,9% en juin.(lefigaro.fr) Qui d'autre est indexé sur le PIB américain?

Le CAC 40 au plus bas après la publication du PIB américain
L'indice CAC 40 a inscrit vendredi un nouveau plus bas de l'année à la Bourse de Paris après l'annonce d'une croissance américaine moins élevée qu'espéré, confirmant les craintes du marché d'un ralentissement de l'économie aux Etats-Unis. Vers 15h, le CAC 40 chutait de 2,06% à 3.636,21 points après être tombé à son plus bas niveau depuis le 1er décembre à 3.630,75 points (-2,2%) dans le sillage de la publication américaine. L'indice phare de la place parisienne abandonnait 1,3% avant la statistique du PIB américain. "Les chiffres du PIB déçoivent, et la nervosité des investisseurs avec la crise de la dette américaine accentue la réaction des marchés", commente Meir Ben Amran, responsable des ventes small et midcaps chez Aurel-BGC. Le produit intérieur brut de la première puissance économique mondiale a augmenté de 1,3% en taux annuel au deuxième trimestre, selon une première estimation, alors que les économistes attendaient en moyenne une croissance de 1,8%.(fr.reuters.com) La Bourse nous régit, mais qui régit la Bourse?

Trois scénarios autour de la dette américaine
Républicains et démocrates n'arrivent pas à s'entendre pour relever le plafond de la dette. Barack Obama doit s'exprimer sur la question ce vendredi. De la catastrophe absolue, au sauvetage de dernière minute en passant par le meilleur des accords, trois pistes s'offrent à eux. Le suspens se prolonge aux États-Unis. Jeudi soir, à la dernière minute, les élus de la Chambre des représentants ont fait capoter le compromis visant à relever le plafond de la dette. Ce vote n'avait aucune chance de passer au Sénat, note toutefois le New York Times . De tels désaccords politiques entre les démocrates (qui veulent des hausses d'impôt), les républicains (qui veulent des baisses des dépenses) et les extrémistes du Tea Party (qui haïssent l'État fédéral) placent les États-Unis au bord du gouffre. Vendredi après-midi, l'un des républicains frondeurs qui se sont opposés au texte, a toutefois assuré que «des avancées ont été réalisées pendant la nuit» et que le nouveau texte issu de ces débats tardifs a de bonnes chances de faire consensus. Selon lui, il pourrait même être voté dès aujourd'hui. Barack Obama a convoqué une conférence de presse à 16h20 (heure de Paris).(lefigaro.fr) Bonne chance Barak, tu nous la fait commet cette fois? Sans les mains? Les doigts dans le nez? Allez je rigole je t'aime bien.

Source: Yahoo Actualités

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