Le désormais ex-patron de l'info est devenu officiellement président de l'OM, en remplacement de Pape Diouf, limogé mercredi.
Et Dassier a renoncé à faire entrer Jean-Pierre Bernès au club comme conseiller ès transferts, comme il l'exigeait samedi. Conscient du pataquès que provoquerait le retour au club d'un homme deux fois condamné (pour le match arrangé VA-OM et pour l'affaire des comptes de l'OM), Robert Louis-Dreyfus (RLD), l'actionnaire principal, a semble-t-il mis son veto.
«Pour moi, Jean-Pierre Bernès est aussi l'homme de la grande époque de l'OM avec Bernard Tapie, explique un Dassier faussement naïf sur le site du club []. C'était avec ça que je voulais renouer. Mais si ça pose des problèmes, n'en parlons plus. Jean-Pierre est d'ailleurs le premier à en convenir.» Ajoutant : «Il n'est pas tricard à l'OM.» Ex-bras droit de Tapie à Marseille entre 1989 et 1993, Bernès donnera un coup de main grâce à «sa connaissance du football» et ses talents d'agent de joueurs.
Pagaille. Mais comment Dassier a-t-il pu lancer une telle bombe ? Soit c'est de l'inconscience, soit c'est voulu. Dans les deux cas, ça inquiète. Et comment a-t-il pu faire ce coup à des gens (Vincent Labrune, président du conseil de surveillance, RLD) qui le connaissent, lui font confiance ? Ils doivent l'avoir mauvaise : Pape Diouf, en cinq ans, n'a jamais fait un coup pareil.
«Je viens en rassembleur, en homme d'unité, en homme d'entente», assure Dassier. Il a déjà provoqué une telle pagaille, avant d'être nommé président, qu'on en doute. Dassier, 67 ans, a confirmé José Anigo comme directeur sportif (il menaçait de partir en cas d'arrivée de... lire la suite de l'article sur Libération.fr
Source: Libération via Yahoo News
Et Dassier a renoncé à faire entrer Jean-Pierre Bernès au club comme conseiller ès transferts, comme il l'exigeait samedi. Conscient du pataquès que provoquerait le retour au club d'un homme deux fois condamné (pour le match arrangé VA-OM et pour l'affaire des comptes de l'OM), Robert Louis-Dreyfus (RLD), l'actionnaire principal, a semble-t-il mis son veto.
«Pour moi, Jean-Pierre Bernès est aussi l'homme de la grande époque de l'OM avec Bernard Tapie, explique un Dassier faussement naïf sur le site du club []. C'était avec ça que je voulais renouer. Mais si ça pose des problèmes, n'en parlons plus. Jean-Pierre est d'ailleurs le premier à en convenir.» Ajoutant : «Il n'est pas tricard à l'OM.» Ex-bras droit de Tapie à Marseille entre 1989 et 1993, Bernès donnera un coup de main grâce à «sa connaissance du football» et ses talents d'agent de joueurs.
Pagaille. Mais comment Dassier a-t-il pu lancer une telle bombe ? Soit c'est de l'inconscience, soit c'est voulu. Dans les deux cas, ça inquiète. Et comment a-t-il pu faire ce coup à des gens (Vincent Labrune, président du conseil de surveillance, RLD) qui le connaissent, lui font confiance ? Ils doivent l'avoir mauvaise : Pape Diouf, en cinq ans, n'a jamais fait un coup pareil.
«Je viens en rassembleur, en homme d'unité, en homme d'entente», assure Dassier. Il a déjà provoqué une telle pagaille, avant d'être nommé président, qu'on en doute. Dassier, 67 ans, a confirmé José Anigo comme directeur sportif (il menaçait de partir en cas d'arrivée de... lire la suite de l'article sur Libération.fr
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