La police a déclaré que des mandats d'arrêt avaient été diffusés à l'encontre de Thaksin, icône en exil du mouvement des "chemises rouges", et de 13 meneurs du Front pour la démocratie contre la dictature, pour violation des règlements de l'état d'urgence, imposé dimanche dans Bangkok et ses environs.
Le porte-parole de l'armée, le colonel Sansern Kaewkamnerd, a déclaré mardi soir que plusieurs centaines de protestataires ne portant pas de "chemises rouges" s'étaient rassemblés à Sanam Luang, une esplanade proche du palais royal, et avaient été dispersés dans le calme avant minuit.
La police a indiqué qu'une centaine de policiers était encore présente dans ce secteur mercredi.
Les "chemises rouges", qui réclament la démission d'Abhisit, sont parvenues à empêcher la tenue, ce week-end à Pattaya, du sommet de l'Asean élargi, obligeant les hôtes étrangers du pays à quitter la station balnéaire à bord d'hélicoptères.
Lundi, les manifestants, qui campaient à Bangkok depuis trois semaines devant le siège de l'exécutif, ont provoqué des violences à un grand carrefour de la capitale.
L'armée est intervenue sans faire couler le sang et est parvenue à isoler les "chemises rouges" qui avaient dressé des barricades et incendié des bus. Ces violences se sont soldées par deux morts, victimes de heurts entre manifestants et habitants de la capitale, et quelque 120 blessés.
Source: Yahoo News
Le porte-parole de l'armée, le colonel Sansern Kaewkamnerd, a déclaré mardi soir que plusieurs centaines de protestataires ne portant pas de "chemises rouges" s'étaient rassemblés à Sanam Luang, une esplanade proche du palais royal, et avaient été dispersés dans le calme avant minuit.
La police a indiqué qu'une centaine de policiers était encore présente dans ce secteur mercredi.
Les "chemises rouges", qui réclament la démission d'Abhisit, sont parvenues à empêcher la tenue, ce week-end à Pattaya, du sommet de l'Asean élargi, obligeant les hôtes étrangers du pays à quitter la station balnéaire à bord d'hélicoptères.
Lundi, les manifestants, qui campaient à Bangkok depuis trois semaines devant le siège de l'exécutif, ont provoqué des violences à un grand carrefour de la capitale.
L'armée est intervenue sans faire couler le sang et est parvenue à isoler les "chemises rouges" qui avaient dressé des barricades et incendié des bus. Ces violences se sont soldées par deux morts, victimes de heurts entre manifestants et habitants de la capitale, et quelque 120 blessés.
Source: Yahoo News