"Nous sommes prêts à prendre 400 kilos de (notre) uranium enrichi à 3,5% sur l'île de Kish pour l'échanger contre une quantité (d'uranium enrichi à 20%) équivalent à 20% de cette livraison", a déclaré à Manama le chef de la diplomatie iranienne, Manouchehr Mottaki, en marge d'une conférence régionale sur la sécurité dans le Golfe.
Cet échange pourrait avoir lieu "immédiatement" dès que le groupe des "5+1" (les cinq membres permanents du Conseil de sécurité de l'ONU plus l'Allemagne) aura donné son accord, a ajouté M. Mottaki, cité par la télévision publique iranienne en anglais Press-TV.
Les Etats-Unis ont estimé samedi que la proposition iranienne d'échange d'uranium, ne présentait "rien de nouveau", un haut responsable jugeant qu'elle "ne semblait pas conforme" à un accord permettant à la République islamique d'échapper à des sanctions.
"La proposition de l'Iran aujourd'hui ne semble pas conforme avec l'accord préliminaire équitable et équilibré proposé par l'AIEA en consultation avec les Etats-Unis, la Russie et la France", a estimé le responsable, qui s'exprimait sous le couvert de l'anonymat.
Cet échange pourrait avoir lieu "immédiatement" dès que le groupe des "5+1" (les cinq membres permanents du Conseil de sécurité de l'ONU plus l'Allemagne) aura donné son accord, a ajouté M. Mottaki, cité par la télévision publique iranienne en anglais Press-TV.
Les Etats-Unis ont estimé samedi que la proposition iranienne d'échange d'uranium, ne présentait "rien de nouveau", un haut responsable jugeant qu'elle "ne semblait pas conforme" à un accord permettant à la République islamique d'échapper à des sanctions.
"La proposition de l'Iran aujourd'hui ne semble pas conforme avec l'accord préliminaire équitable et équilibré proposé par l'AIEA en consultation avec les Etats-Unis, la Russie et la France", a estimé le responsable, qui s'exprimait sous le couvert de l'anonymat.