Nouvelles inculpations au sein de l'armée turque
La justice turque a inculpé 196 personnes, dont des militaires en activité ou à la retraite, dans le cadre d'une enquête ouverte il y a plusieurs mois sur une tentative de renversement en 2003 du gouvernement islamo-conservateur, a annoncé la presse turque lundi 19 juillet. Les inculpations, prononcées à Istanbul, sont le résultat d'une enquête commencée en février avec une spectaculaire vague d'arrestations de militaires. Le suspect numéro un est le général à la retraite Cetin Dogan, ancien chef de la Première armée, basée à Istanbul, ville où le complot aurait été fomenté, peu après l'arrivée au pouvoir du Parti de la justice et du développement (AKP), issu de la mouvance islamiste, en 2002, selon l'agence de presse Anatolie. L'amiral à la retraite Ozden Ornek, ancien chef de la marine, le général à la retraite Halil Ibrahim Firtina, ancien chef de l'armée de l'air, et l'ancien adjoint au chef d'état-major, le général à la retraite Ergin Saygun, font partie des inculpés.(lemonde)
Un journaliste grec assassiné à Athènes
Un journaliste grec, Sokratis Giolias, a été assassiné par balles lundi devant son domicile à Athènes. La police privilégie la piste d'un groupe extrémiste qui avait menacé les médias, la Secte des révolutionnaires. Cette attaque a été unanimement condamnée par les médias et la classe politique. "La démocratie et la liberté de parole ne peuvent pas être bâillonnées, terrorisées ou intimidées. Le gouvernement condamne sans réserve ce lâche meurtre lâche meurtre commis de sang-froid", a déclaré le porte-parole du gouvernement, George Pétalotis. Agé de 37 ans, marié et père d'un jeune enfant, Sokratis Giolias dirigeait la radio privée d'Athènes Thema FM et tenait un blog d'information à succès, "Troktiko", dans lequel il évoquait régulièrement des scandales. Selon ce blog, il a été abattu par deux ou trois hommes armés. La police estime également que l'assassinat est l'oeuvre d'au moins deux individus, qui ont tiré 16 balles. Le journaliste, qui habitait dans le quartier d'Ilioupoli, situé dans l'est de la capitale, est apparemment tombé dans un guet-apens. Ses meurtriers l'auraient fait sortir de chez lui en prétendant que sa voiture avait été volée. La police enquête sur une voiture retrouvée calcinée près de là, et qui avait été signalée volée.(AP)
Un journaliste grec tué à Athènes, des gauchistes soupçonnés
La police grecque a mis en cause des extrémistes de gauche dans l'assassinat d'un journaliste abattu lundi devant chez lui, en banlieue d'Athènes. Sokratis Giolias a été tué à bout portant de plusieurs balles par trois inconnus, dans le quartier d'Ilioupoli. "L'enquête balistique montre que les armes utilisées pour l'assassinat d'aujourd'hui ont servi dans des attaques revendiquées par la Secte Rebelle", a déclaré la police. L'assassinat de lundi, le premier d'un journaliste en Grèce depuis plus de vingt ans, n'a pas été revendiqué. L'ensemble des partis politiques grecs et les syndicats de la profession ont vivement condamné l'assassinat de cet homme de 37 ans, qui était directeur de l'information à la radio Thema 98.9. "Quelqu'un voulait faire taire un très bon journaliste d'investigation qui a dérangé beaucoup de gens avec ses papiers", a dit à son égard le président du syndicat des journalistes d'Athènes, Panos Sabolos.(reuters)
Source: Yahoo Actualités
La justice turque a inculpé 196 personnes, dont des militaires en activité ou à la retraite, dans le cadre d'une enquête ouverte il y a plusieurs mois sur une tentative de renversement en 2003 du gouvernement islamo-conservateur, a annoncé la presse turque lundi 19 juillet. Les inculpations, prononcées à Istanbul, sont le résultat d'une enquête commencée en février avec une spectaculaire vague d'arrestations de militaires. Le suspect numéro un est le général à la retraite Cetin Dogan, ancien chef de la Première armée, basée à Istanbul, ville où le complot aurait été fomenté, peu après l'arrivée au pouvoir du Parti de la justice et du développement (AKP), issu de la mouvance islamiste, en 2002, selon l'agence de presse Anatolie. L'amiral à la retraite Ozden Ornek, ancien chef de la marine, le général à la retraite Halil Ibrahim Firtina, ancien chef de l'armée de l'air, et l'ancien adjoint au chef d'état-major, le général à la retraite Ergin Saygun, font partie des inculpés.(lemonde)
Un journaliste grec assassiné à Athènes
Un journaliste grec, Sokratis Giolias, a été assassiné par balles lundi devant son domicile à Athènes. La police privilégie la piste d'un groupe extrémiste qui avait menacé les médias, la Secte des révolutionnaires. Cette attaque a été unanimement condamnée par les médias et la classe politique. "La démocratie et la liberté de parole ne peuvent pas être bâillonnées, terrorisées ou intimidées. Le gouvernement condamne sans réserve ce lâche meurtre lâche meurtre commis de sang-froid", a déclaré le porte-parole du gouvernement, George Pétalotis. Agé de 37 ans, marié et père d'un jeune enfant, Sokratis Giolias dirigeait la radio privée d'Athènes Thema FM et tenait un blog d'information à succès, "Troktiko", dans lequel il évoquait régulièrement des scandales. Selon ce blog, il a été abattu par deux ou trois hommes armés. La police estime également que l'assassinat est l'oeuvre d'au moins deux individus, qui ont tiré 16 balles. Le journaliste, qui habitait dans le quartier d'Ilioupoli, situé dans l'est de la capitale, est apparemment tombé dans un guet-apens. Ses meurtriers l'auraient fait sortir de chez lui en prétendant que sa voiture avait été volée. La police enquête sur une voiture retrouvée calcinée près de là, et qui avait été signalée volée.(AP)
Un journaliste grec tué à Athènes, des gauchistes soupçonnés
La police grecque a mis en cause des extrémistes de gauche dans l'assassinat d'un journaliste abattu lundi devant chez lui, en banlieue d'Athènes. Sokratis Giolias a été tué à bout portant de plusieurs balles par trois inconnus, dans le quartier d'Ilioupoli. "L'enquête balistique montre que les armes utilisées pour l'assassinat d'aujourd'hui ont servi dans des attaques revendiquées par la Secte Rebelle", a déclaré la police. L'assassinat de lundi, le premier d'un journaliste en Grèce depuis plus de vingt ans, n'a pas été revendiqué. L'ensemble des partis politiques grecs et les syndicats de la profession ont vivement condamné l'assassinat de cet homme de 37 ans, qui était directeur de l'information à la radio Thema 98.9. "Quelqu'un voulait faire taire un très bon journaliste d'investigation qui a dérangé beaucoup de gens avec ses papiers", a dit à son égard le président du syndicat des journalistes d'Athènes, Panos Sabolos.(reuters)
Source: Yahoo Actualités