Dans la lettre dactylographiée de menace de mort, l'auteur indique qu'il entend prendre le relais du premier « corbeau » arrêté dans l'Hérault le 20 septembre, et qui menaçait aussi, entre autres, le chef de l'État, a précisé le parquet.
« La section antiterroriste de la brigade criminelle a été saisie », a déclaré une porte-parole. Le courrier reçu au service correspondance de l'Élysée contenait une balle d'une arme de type 22 Long Rifle.
D'autres lettres similaires ont été détectées et saisies au centre de tri postal de Roubaix, dans le Nord, écrit mardi le quotidien régional Midi libre, mais elles ne sont pas visées par l'enquête judiciaire, dans l'immédiat.
Mardi dernier, Thierry Jérôme, un homme de 51 ans originaire de l'Hérault, a été mis en examen et placé en détention provisoire après avoir avoué être l'auteur d'une trentaine de lettres de menaces accompagnées aussi de balles et signées « Combattants de la cellule 34 ».
Elles avaient été adressées depuis le début de l'année à des responsables et des élus, dont le président de la République.
Thierry Jérôme, un chômeur handicapé, membre d'un club de tir, ne militait dans aucun mouvement politique. Il a dit avoir agi seul.
De très importants moyens de police ont été affectés à cette première enquête, avec notamment des expertises génétiques qui ont permis d'identifier l'ADN du suspect sur un courrier.
Source: Reuters via Yahoo News
« La section antiterroriste de la brigade criminelle a été saisie », a déclaré une porte-parole. Le courrier reçu au service correspondance de l'Élysée contenait une balle d'une arme de type 22 Long Rifle.
D'autres lettres similaires ont été détectées et saisies au centre de tri postal de Roubaix, dans le Nord, écrit mardi le quotidien régional Midi libre, mais elles ne sont pas visées par l'enquête judiciaire, dans l'immédiat.
Mardi dernier, Thierry Jérôme, un homme de 51 ans originaire de l'Hérault, a été mis en examen et placé en détention provisoire après avoir avoué être l'auteur d'une trentaine de lettres de menaces accompagnées aussi de balles et signées « Combattants de la cellule 34 ».
Elles avaient été adressées depuis le début de l'année à des responsables et des élus, dont le président de la République.
Thierry Jérôme, un chômeur handicapé, membre d'un club de tir, ne militait dans aucun mouvement politique. Il a dit avoir agi seul.
De très importants moyens de police ont été affectés à cette première enquête, avec notamment des expertises génétiques qui ont permis d'identifier l'ADN du suspect sur un courrier.
Source: Reuters via Yahoo News