L’engouement que semble attacher la France à ce pays est-il sans intérêt ? C’est un peu inquiétant dans un sens où tous les pays qui ont suscité l’intérêt de la France sont toutes ravagées ou à la traine. Il est clair que la France est l’un des acteurs majeurs de l’appauvrissement chronique de l’Afrique, notamment de ses anciennes colonies. Il est connu et su de tous que pour la France, c’est son intérêt avant tout,… peut-être… peut être plus tard ceux de ces pays. On ne souhaite rien d’autre que la France qui change de position et va enfin se positionner en vrai partenaire de développement pour ces pays qui en ont vraiment besoin.
Le Liban est un pays meurtri. La grande explosion du mois dernier n’a rien arrangé à la situation déjà inquiétante dans ce pays. Pour rappel, l’année dernière les chiffres économiques du Liban était déjà négatif, -6.9 en 2019. Le coronavirus n’a bien sûr rien arrangé. Cette année elle sera de -13.8.
La famine guette, le taux de chômage a augmenté de 3 fois, les couts des produits de première nécessité évolue d’une manière exponentielle. L’inflation n’est pas maîtrisée, la monnaie locale dévalue à une vitesse fulgurante. A titre d’exemple, le prix des légumes à l’étale a augmenté de 4 fois. Celui de la viande 5 fois.
C’est dans ce contexte qu’un nouveau premier ministre a été nommé en la personne de Mustapha Adib. Loin d’être un novice en politique bien que ce soit une figure qui est presque inconnu par la population libanaise. Bien qu’il ne fasse pas l’unanimité, il suscite une lueur d’espoir pour un grand nombre de libanais.
Constituer un nouveau gouvernement par des experts
Le Liban ne manque pas d’experts. Et il va falloir que ces derniers s’attellent à la reconstruction de leur pays qui est au plus mal. Parmi les grands chantiers figurent les négociations avec le Fmi pour injecter de nouveaux fonds dans l’économie de ce pays au bord de la faillite.
Bien que les termes du Président Français qui appelle à des "réformes essentielles" sont un peu ambigus, … « Nous exigeons, mais nous n’ingérons pas ». Il faut reconnaitre qu’il y a une partie de vérité dans ses propos. Il faut lutter contre les habitudes qui ralentissent davantage le redressement de ce pays déjà au bord du gouffre. Citons entres autre la corruption.
Le Liban est un pays meurtri. La grande explosion du mois dernier n’a rien arrangé à la situation déjà inquiétante dans ce pays. Pour rappel, l’année dernière les chiffres économiques du Liban était déjà négatif, -6.9 en 2019. Le coronavirus n’a bien sûr rien arrangé. Cette année elle sera de -13.8.
La famine guette, le taux de chômage a augmenté de 3 fois, les couts des produits de première nécessité évolue d’une manière exponentielle. L’inflation n’est pas maîtrisée, la monnaie locale dévalue à une vitesse fulgurante. A titre d’exemple, le prix des légumes à l’étale a augmenté de 4 fois. Celui de la viande 5 fois.
C’est dans ce contexte qu’un nouveau premier ministre a été nommé en la personne de Mustapha Adib. Loin d’être un novice en politique bien que ce soit une figure qui est presque inconnu par la population libanaise. Bien qu’il ne fasse pas l’unanimité, il suscite une lueur d’espoir pour un grand nombre de libanais.
Constituer un nouveau gouvernement par des experts
Le Liban ne manque pas d’experts. Et il va falloir que ces derniers s’attellent à la reconstruction de leur pays qui est au plus mal. Parmi les grands chantiers figurent les négociations avec le Fmi pour injecter de nouveaux fonds dans l’économie de ce pays au bord de la faillite.
Bien que les termes du Président Français qui appelle à des "réformes essentielles" sont un peu ambigus, … « Nous exigeons, mais nous n’ingérons pas ». Il faut reconnaitre qu’il y a une partie de vérité dans ses propos. Il faut lutter contre les habitudes qui ralentissent davantage le redressement de ce pays déjà au bord du gouffre. Citons entres autre la corruption.