Menacé par les autorités religieuses, un nigérian de 86 ans a accepté -non sans mal- de divorcer de 82 de ses 86 épouses. Le polygame se retrouve dorénavant face à un choix cornélien pour élire les quatre heureuses restantes. "Je n'ai enfreint aucune loi établie qui me forcerait à être banni de ma terre (...) Il n'existe aucune loi qui impose qu'on n'épouse que quatre femmes. Toutes mes femmes ont des enfants et certaines, je les ai épousées il y a plus de 30 ans. Comment peut-on me demander de les quitter en deux jours ?"
En effet, le Nigeria, où vit le Don Juan, a réintroduit en 2000 les châtiments de la Charia dans la loi islamique. En théorie, seulement (!) quatre femmes sont autorisées par époux mais implicitement, il n'y a pas vraiment de quotas..
Le 21 août dernier, le Jamatu Nasr il Islam (haute autorité religieuse) avait lancé un arrêt de mort à l'encontre de Mohammadu Bello Masaba avant de lui accorder quelques jours de reflexion. Punition: la mort ou l'exil.
Jusqu'à présent, l'ancien enseignant vivait avec ses épouses et au moins 170 enfants. Maintenant, il va falloir choisir celles à renvoyer chez elles.
En véritable Don Juan, Il aurait même été investi d'un « don » venant d'Allah en personne: grace à lui, le polygame aurait la force de s'occuper de tout ce harem. "Un homme avec 10 femmes s'effondrerait et mourrait, mais moi, je tiens mon pouvoir d'Allah affirme-t-il. C'est la raison pour laquelle j'ai été en mesure d'en prendre 86 en charge », "
Après avoir longtemps campé sur ses positions, Mohammadu Bello Masaba s'est finalement résigné à divorcer durant une réunion avec des influents religieux. Les procédures devraient débuter en septembre.
Il a du pain sur la planche.
Source: Dabio
En effet, le Nigeria, où vit le Don Juan, a réintroduit en 2000 les châtiments de la Charia dans la loi islamique. En théorie, seulement (!) quatre femmes sont autorisées par époux mais implicitement, il n'y a pas vraiment de quotas..
Le 21 août dernier, le Jamatu Nasr il Islam (haute autorité religieuse) avait lancé un arrêt de mort à l'encontre de Mohammadu Bello Masaba avant de lui accorder quelques jours de reflexion. Punition: la mort ou l'exil.
Jusqu'à présent, l'ancien enseignant vivait avec ses épouses et au moins 170 enfants. Maintenant, il va falloir choisir celles à renvoyer chez elles.
En véritable Don Juan, Il aurait même été investi d'un « don » venant d'Allah en personne: grace à lui, le polygame aurait la force de s'occuper de tout ce harem. "Un homme avec 10 femmes s'effondrerait et mourrait, mais moi, je tiens mon pouvoir d'Allah affirme-t-il. C'est la raison pour laquelle j'ai été en mesure d'en prendre 86 en charge », "
Après avoir longtemps campé sur ses positions, Mohammadu Bello Masaba s'est finalement résigné à divorcer durant une réunion avec des influents religieux. Les procédures devraient débuter en septembre.
Il a du pain sur la planche.
Source: Dabio